mercredi 7 octobre 2015

Tétine

Suce mon sexe jusqu'à ce qu'il crache.
Puis, à ton tour, crache mon sperme dans cette tétine.

Tu la suceras durant la journée en tétant un peu de ma semence à chaque fois.

Nous remplirons à nouveau ta tétine en fin de journée.

vendredi 11 septembre 2015

Etirement du matin

Ce n’est pas le réveil qui m’a réveillé ce matin. Il est bien trop tôt: 5:30 du matin. Je l’ai devancé d’une bonne heure. J’avais une lourdeur au ventre. J’avais une brûlure. Ces sensations m'empêchaient de me rendormir. Je me suis un peu tortillé comme ferait un ver. Mes bras se sont étendus entre les jambes. Cette lourdeur que j’avais au ventre, je l’ai senti percutée mon bras. C’était la masse de mon sexe bandant et réveillé. Cette brûlure vivant de son étirement pour venir me chercher.

Une autre masse m’a mis dans l’embarra. Une masse corporelle pour qui je ne savais pas donner de prénom: Johanna, Marie, Anne... à moins que ce soit Karine. Mais mon sexe n’a pas eu besoin de connaître cela. Il a vite nommé l’inconnue. Je sors ma compagne d’une nuit. Je lui propose mes étirements, mon activité du matin, qui n’a pour réseau que celui qui la connecte à moi.

Ce matin, ... Je ne sais plus.

samedi 8 août 2015

Polaroïd


[...] jusqu'au moment où j'ai jeté les glaçons du coca sur le plateau en lui disant : "Les plus petits dans ton cul. Les plus gros dans ta chatte".

Elle a remis les glaçons dans le gobelet puis elle est allée aux toilettes du fast food.

samedi 20 juin 2015

Emprise

Partir avec de ta salive sur mon sexe encore un peu dur. Dans la nuit, sur le pas de la porte, quelques minutes ont suffit. Je t’ai voulu. Tu as voulu me goutter. Nous avons tout eu.

J'emporte avec moi l’odeur de ton con et tu retournes retrouver cet homme dans ta vie, dans ton lit. Je pars et tu l’embrasses avec dans ta bouche encore le goût de mon sperme.

vendredi 5 juin 2015

Jouir dans les larmes

J’ai fermé les yeux très forts. J’ai jouis dans ses mains habiles. J’ai jouis dans mes larmes. Je ne voulais pas mais l’attente, l’absence, le manque, la solitude et la fadeur d'une masturbation me pèsent.

Je ne devais pas la suivre cette femme devant moi. Cette prostitué me fait avancer contre ma volonté. Je ne veux pas me retrouver à placer mes pas dans les siens. Ses “Mon chou” ont eu raison de ma volonté. Mon cœur s’emballe de nouveau. Je me sens puceau tellement j’ai voulu attendre. Je tremble. Je ne sais pas si je dois bander et la suivre aveuglement ou si je dois prendre les jambes à mon cou, redescendre 4 à 4 les marches des escaliers et m’évaporer dans le rue.

Arrivé dans sa chambre, elle n’a pas pris le temps que je me déshabille. Assise sur le bord de son lit, elle est déjà prête à oeuvrer contre mon désir mais avec mon plaisir d’homme. Ses jambes ouvertes m’indiquent la place que je dois occuper. je dois être debout et devant elle.

Sa main percutent la base de ma verge et décalotte et calotte mon gland. Ses seins rebondissent à chaque mouvement de sa main. Ses jambes, où elle a, habile métier, dévoilée que le bas de ses cuisses. Cruelle torture d'imaginer son sexe ouvert, mouillé et pressé.

Je ne dois pas regarder. Je me concentre pour garder mes yeux fermés. Je ne dois pas imaginer. J’ai tellement refusé de monter à ses appels d’un “Chéri !”. Je ne peux pas.

Elle m’excite tant. Ma volonté est perdue.

“Salope ! C'est si bon.”

jeudi 28 mai 2015

Think about this

Whatever you are in the BDSM lifestyle:

Abuse and Torture to obtain submission is has no place in the bdsm lifestyle.

Read this until it is clear.

jeudi 21 mai 2015

Pisser et avoir

Je n'en peux plus de pisser dans mes WC. Je n'ai pas envie de marquer ma propriété dans cette cuvette.

C'est toi que je veux marquer. C'est entre tes reins que je veux répandre l'odeur de ma pisse. Tu en prends plaisir.

C'est dans ton sexe, dans ton plus intime que je veux m’infiltrer. Ajouter ma pisse au sperme que j'ai laissé ce matin, au risque de voir ce liquide déferler le long de tes jambes lorsque tu te lèveras. C'est ton regard perdu avec l’impossibilité de te retenir que je veux.

Couler dans ta gorge au risque de durcir mon sexe. Remplir cette bouche et sentir mon urine expulsée de ta bouche sous la suffocation, ne pas te noyer. Voir ce fluide descendre vers ton entre jambe, couler sur ton corps et prendre sa possession. Ajouteras-tu ton odeur à la mienne ?

Ne plus remplir le trou des chiottes. Remplir tes trous et sentir une utilité à cette pisse chaude. Une pisse volontairement odorante que je veux faire couler sur ta peau et te voir te rouler dans la flaque qu'il restera.

Ma marque, mon odeur, mon intérieur, mon extérieur, ma chienne, ma propriété.

vendredi 15 mai 2015

Le lien - "Ratages"

Lors de mes lectures, j'ai trouvé le livre "Le Lien", de Vanessa Duriès. Vous devez connaître ce livre si vous avez "Histoire d'O" ou "Dolorosa soror". Ce récit possède un chapitre de 4 pages que je ne peux résister à placer ici. Il donne matière à réflexion, et pour moi exprimer ce que le BDSM est et n'est pas.









Ratages
 
Vivre pleinement sa sexualité, si l'on sort tant soit peu des sentiers battus et sillonnés par les autres, est un luxe qui n'est pas accordé à tous. La liberté sexuelle est davantage un concept médiatique qu'une réalité dans la France profonde. Et cela est encore plus délicat dans le domaine où nous évoluons, P et moi, fantasme des fantasmes, apothéose de la liberté sexuelle pour beaucoup d'être conditionnés par éducation frustrante -je sais que quoi je parle-, domaine qui suscite à la fois l'envie et la crainte, voire le dégoût chez les non-initiés qui tournent souvent autour du sadomasochisme comme s'il s'agissait d'une belle fille de joie, sans trouver le courage de l'aborder. La principale confusion de ces étrangers, en ce qui concerne les joies du cuir noir, réside dans l'amalgame qu'ils font entre le rituel, le positionnement affectif et psychologique du maître et de son esclave, et le banal échangisme pratiqué par des couples hâtifs qui ne se réunissent que pour éprouver leur jalousie, leur complaisance ou leur perversité. Nous n'avons jamais cédé aux pressions des échangistes qui se cachent parfois, tant bien que mal, sous de prétendues "invitations à caractère SM". Cela fut l'origine de quelques déboires et d'amères déceptions.

Combien de fois avons-nous été trompés par ces opportunistes qui croient trouver chez les adeptes de la soumission des pourvoyeurs pour leur débauche ? Le cliché de la femme esclave prêtée par son maître fait saliver bon nombre de solitaires en mal de perversions qui n'ont pour projet que de s'isoler avec l'esclave pour déverser un trop-plein de frustrations qu'ils accompagnent le plus souvent de mépris et d'insultes.Combien de kilomètres parcourus -P. n'hésite pas à traverser la France pour se rendre à une invitation qu'il a jugée intéressante, et nous parcourons quelquefois deux mille kilomètres au cours d'un week-end pour célébrer avec quelques amis une "fête du cuir" - pour nous retrouver face à un individu cauteleux et sournois qui n'a comme désire que d'utiliser la belle salope que je deviens alors pour les autres et dans le contexte bien précis de l'univers auquel P m'a initiée.

Faux manoirs réduits à l'état de banales chambres à coucher, fausses soirées rituelles animées par de vieux célibataires privées de femme "coopérative", faux maîtres sans autorité, faux pervers sans fantasmes. La publicité mensongère est monnaie courante aux abords du sadomasochisme pur et dur.

Il faut ajouter à cela les brutes épaisses qui croient dominer en cognant, les malades mentaux qui attachent leur proie et les abandonnent pendant des heures pour se masturber secrètement dans l’impossibilité de concrétiser quoi que ce soit, les escrocs qui demandent de l'argent pour prêter leur "équipement" réduit à une vague batterie de cuisine bricolée, les truqueurs qui louent les services d'une professionnelle pour faire croire qu'ils forment un couple d'initiés, les inévitables poseurs de lapins qui donne rendez-vous à l'autre bout du pays et ne viennent jamais, tous ceux qui ne souhaitent en faite que tirer un coup en vitesse, comme ils ont l'inconscience de l'avouer eux-mêmes avec le cynisme inhérent à leur libido primaire et leur culture sexuelle réduite à la lecture de quelques bouquins pornographiques de supermarché.

Cette grande misère sexuelle nous conforte dans notre choix : le sadomasochisme est un art, une philosophie, un espace culturel interdit aux menteurs et aux hypocrites assermentés.




Que les droits d'auteurs me soient notifiés afin que je puisse régulariser l'écriture de ce texte sur ce blog.
(Cette œuvre n'est pas soumise à la licence du blog. Elle est soumise à des droits d'auteurs et ce billet ne donne aucun droit à toutes personnes n'ayant pas l'autorisation de l'auteur express)

lundi 20 avril 2015

Ferme la porte

Sur le lit traîne un magazine fétichiste ouvert. Sur une page, on peut voir la photo d'une femme couverte de latex, écarte ses jambes. Son sexe poilu est visible par le zip ouvert de sa combinaison. Le magazine provient des années 80, avec ses couleurs spéciales et un latex pas forcement des plus brillant.

Cette femme a été prise en flagrant délit avec un doigt égaré dans ses poils. Moi, je viens d'être pris en flagrant délit de faire une chose similaire.

- Entre. Ferme la porte.

mardi 7 avril 2015

Tes fesses

Ce matin, tu as dû avoir froid. A mon réveil, j’ai soulevé le drap qui nous couvrait. Juste en dessous de tes hanches, elles étaient toujours là, tes fesses. Elles avaient toujours cette fente qui partage leur rondeur et je me rappelle qu’une fesse, à l’origine, c’est une fente, une séparation. L’image de ton corps s’ouvrant à moi à surgit de cette fente. Je me rends compte que je n’ai pas pensé à me retenir de sauter dans cette faille.

lundi 6 avril 2015

Je n'étais pas dans la chambre n°58

A LIRE : "58" sur ce blog

Je me suis rêvé à être cet homme qui donne un pourboire. J'aurais alors possédé cette femme rousse.

J'aurai pu décrire comment je l'ai déshabillée, touchée, caressée, léchée, et fait jouir. J'aurai pu écrire mes ressentis lorsqu'elle c'est mise à genoux sans que je demande ou quand j'ai placé ma langue entre ses jambes, en son ventre, quand elle a saisie les coussins pour les mordre et étouffer ses cris, rentrer en elle, plusieurs fois, quand je l'ai roulée bondagée dans les draps devenus mouillé de sueur, de mouille et de sperme. Et cette image, qui ne me quitterait pas, du filet de bave qui lie son sexe à mon sexe lorsque je me suis retiré pour voir ce trou qui s'ouvrait.

J'aurai pu me mettre à rêver tout ça et le reste. Mais pourquoi rêver alors que cela est à porté, juste là, en face de moi, cette possession, ici, dans cette chambre, où la bonne passera plus tard.

samedi 4 avril 2015

Chemisier

J’ai posé mes mains sur tes hanches. Sentir sous un chemisier ton corps, en relever les formes. Ce tissu blanc est de trop. C’est assez de se cacher de mes mains. Elles ont quitté ta croupe pour tes seins. Les deux mains pleines rapprochent, collent, serrent. Les sentir se durcir sous ma pression. Et toujours ce chemisier de trop, bien qu’il se déforme sous mes assauts.

"Liberté, mon amour. Surgit devant moi. Libère toi de cette camisole. Laisse-moi t’ouvrir les portes. Bondis hors de ta cage et fuis. Fuis vers moi."

Le décolleté de ton chemisier, il y a une ouverture entre les boutons qui le ferme, une porte entrebâillée. C’est plus que suffisant pour que je glisse mes doigts et tire violemment de chaque côté. Le tissu cri un déchirement. Dans la panique, les boutons volent et tombent sur le sol comme pour prendre leurs jambes à leur cou face à la tempête.

Tes seins jaillissent. Bordés par ton chemisier, comme des bretelles. Tes seins jaillissent. Je veux encore les voir se révéler, serrés par ces bretelles improvisées. Les imaginer sous mes mains. Lever un voile, contempler avant de conquérir. Alors les serrer.

Comment as tu finis devant le miroir ? C’est arrivé trop vite pour que cela soit prémédité. Je dois chercher et rassembler quelques instants.

J’ai glissé mon bras entre tes bras et ton dos. En peu de temps, je t’ai emporté devant la glace. Je me rappel de cet instant car j’ai vu cette croupe où j’avais posé mes main, au début. Ce sont tes cheveux que je tenais. Ce sont eux qui m’ont permis de te jeter devant moi, entre ton reflet et moi.

Je t’ai vu dans ton reflet, les seins décolleté ouvert, les cheveux en bataille, le regard interrogateur sur l’avenir. Que voulais-je faire ? Le regret d’une fin ?

Enfin, une réponse, j’ai envie de toi. Te dominer, te soumettre, rebelle, consciente d’être mon excitation.

vendredi 20 mars 2015

Au delà du terme

(Je lui ai écrit cela,... après, au lendemain d'une nuit ensemble, après l'avoir quitté)

Aujourd’hui, j’ai voulu te violer.
Imaginer la scène du refus, du mouvement, du choc, du dépassement. Savoir qu’une relation est au-delà de cela. Notre relation soit au-delà de ça.

Je savais que s’était inévitable alors je me suis masturbé. J’ai tenté de défaillir dans mon envie. J'ai tenté plus d'une fois.

1 fois tellement excité.
A l’ébauche de l'idée, j’étais excité comme un puceau découvrant une femme nue. M’imaginer te violer, te débattre, m’a durci, raidi, très raide. Je me suis branlé sous les draps. Te sentir te débattre et te posséder, quand même. Voir le moment où tu capitules, où tes gémissements deviennent des cris de jouissance. Emporté par l’excitation et mon imagination, la nuit était passée en moi. J’ai giclé, beaucoup giclé.

2ème fois car excité par l’imagination de la 1ère, des relents.
Cela ne m’a pas suffit. J’ai du continuer un peu plus tard. Il y avait un coté fade dans ce que j’ai fais un peu avant. Le peu que j’ai imaginé, et ma tête qui travaille encore, et mon sexe n’est plus qu’un bâton qui me guide, et les mains mon soulagement. Je me suis branlé encore. Je me suis rappelé ces moments que j’ai imaginés la première fois.

3ème fois car il fallait que je retrouve un état normal.
Une dernière fois, car je devais recommencer. Il me fallait exulter une dernière fois, et m’assurer que j’allais mieux.

Ce matin, je t’ai violé. Mes trois éjaculations ne m’ont pas suffit. Je savais, que je ne résisterai pas. Finalement, je t’ai violé. Il m’était impossible de résister. Pas violer, mais te savoir intime et proche et à moi suffisamment pour que ce viole ne soit qu’un terme.

jeudi 19 mars 2015

Arc boute

S'arc-bouter et jouir. Les muscles et le sexe bandé. La verge au dessus du nombril expulse des jets de sperme sous les spasmes d'un sexe agité d'une main branlante.

samedi 14 mars 2015

Transpirer

Depuis, je manque de transpiration.
Je manque de transpirer mon âme, mes besoins, mes envies.

Mon environnement a changé. Il est devenu terriblement glaciale.
Il ne réchauffe plus. Je ne transpire plus.

Autour de moi, c'est froid, c'est fade, c'est d'un ennui mortel.
J'ai besoin de transpirer, dans un enfer où je me sens moi.

Un enfer où je suis moi.

J'ai chaud. Je pense à vous.

jeudi 5 mars 2015

Ne pas détailler

J’ai envie là entre les lignes.

“Viens, suce moi !” Viens. Soit ma salope.

Je ne détaillerai pas tout de ta langue, tes mains, de mon sexe, tes lèvres, ta salive, tes jeux, des agacements de ma verge.

Juste être dur et le devenir par toi, en toi, à t’en étouffer.

mardi 3 mars 2015

Trippes sur toile

J'ai envie de mettre une grande toile sur le sol, une grande toile blanche.
J'ai envie de jeter sur cette toile de la peinture, des poussières de sable, des pigments.
J'ai envie de jouer des cordes sur cette toile. De jouer au sol, en l'air, sur le côté, recroquevillée, contre et loin de toi.
J'ai envie de marquer le sol de ces jeux. Une façon de représenter nos tripes.
J'ai envie avec toi, tant que je n'aurai pas trouvé celle qui t'atteindra.

samedi 21 février 2015

Crier ton nom

Etre dans son cul et crier ton nom en giclant.

La voir se retourner subitement. Les derniers spasmes de mon éjaculation se perdent sur les draps. Elle me regarde le temps de comprendre. Commencer à me traiter de connard et de tous les noms abjectes du mépris. Ne pas lui laisser le temps de finir sa phrase. A pleine main, prendre ses cheveux et enfoncer sa tête dans les coussins: "Ta gueule !"

Malgré tout ses mouvements j'appuie. Certains cheveux ont échappés à mon assaut. Au travers, je vois le brillant de ses yeux. Des yeux si profond que leur colère m'excite et décuple mon envie de la prendre. Elle essaye de me regarder à nouveau la tête sur le côté.

Son cul ressort et pointe de nouveau au ciel, vers mon ciel. C'est le moment. L'enculer encore pour lui montrer qu'elle est mienne. La pénétrer et crier plus fort ton nom.

samedi 14 février 2015

Cris d'une chienne

Sa bite glissait en moi. J'entendais le son qu'elle produisait en tapant le fond de ma chatte. Je me suis mise à crier pour cacher ce bruit. Mais ce qui sorti de ma gorge semblait être l'écho des mouvements de cet homme.

Des cris de chienne.

mercredi 21 janvier 2015

Implore moi

Montre moi ton cul et appel moi avec.

Je vais t'apprendre une façon d'implorer qui sera honte mais raison.

jeudi 15 janvier 2015

Exténués

Te rappels-tu de ce matin où, ayant baisé toute la nuit, nous nous réveillons mon sexe encore dans ton cul, près à continuer là où nous en étions ? Te rappels-tu de ce plug encore présent dans tes reins lorsque je t'ai rejoins dans le lit ? Je me souviens l'avoir retiré pour aussitôt le remplacer de mon sexe. Te réveiller sous mes coups de reins. Tu n'as pas eu l'air surprise. Tu as même accompagné mes mouvements

Te rappels-tu ?

dimanche 11 janvier 2015

L'oeuf

Pourquoi me dire ta prochaine relation vanille ?

Pour que je sache comment je vais gérer cela ? Dans quelle situation je suis et si ce n'est pas trop impliqué. Ce peut-être une raison. Mais c'est biaisé.

Il y a une autre raison simple qui sera l’œuf dur que tu auras dans ton ventre à ce moment là.
Oui, un œuf dur.

Tu l'auras en toi dans ton sexe à partir du moment où tu devras te préparer et te toiletter pour montrer l’objet que tu veux être. Il sera présent en toi durant tout la période de séduction.
Comme une autorisation tu pourras le retirer avant l'acte. Un passage dans la salle de bain ? Un lieu intime ? Je ne sais pas. Cela m'intéresse pas. C'est l'acte que je veux. L'acte de le retirer, l’acte de le remettre à sa place, au chaud, dans ton ventre une fois les rapports terminés. Rentrer chez toi avec et finalement, le ressortir pour le décortiquer et le manger.

Ta prochaine relation, tu auras de nouveau un œuf dans ton ventre. Il sera cru cette fois. Il sera fragile. Il faudra en prendre soin. Il est comme notre relation, chaude, envahissante, absente lors des actes intimes et si fragile à vivre.
Toutes les significations !

Pourquoi te demander le prochain rapport vanille ? Pour savoir où j'en suis avec toi et toi avec le reste de tes envies et moi, au milieu de cela.