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dimanche 3 juin 2018

Traces

"Mon corps n'a gardé aucune trace, comme prévu. (Je ressens même une certaine frustration, un rappel à toi qui n'est pas figé sur ma peau)"

jeudi 28 mai 2015

Think about this

Whatever you are in the BDSM lifestyle:

Abuse and Torture to obtain submission is has no place in the bdsm lifestyle.

Read this until it is clear.

dimanche 10 août 2014

Le voyeur

Être simplement acteur ne suffit pas. L'envie ne se complète pas. Il manque une chose qui permet d'avoir la satisfaction entière.  Si j'avais eu un miroir ce jour là !


Plaquée dans l'angle des murs, ma main te tient par le cou, à bout de bras.

Tu es debout et nue. Je t'ai arraché tes sous vêtements en te poussant dans ce coin. Je veux ton corps pour mon plaisir. Mes yeux sont grands ouverts. Ils te regardent. Un doigt te caresse les lèvres du sexe. Il te branle et cherche ton plaisir.

Je n'ai qu'une envie à ce moment. Me dédoubler. Pouvoir être à quelques mètres. Être plus loin que la portée de mon bras. Suffisamment loin pour avoir une vue de toute la scène. Voir tes jambes qui s'écartent et se resserrent légèrement pour qu'il soit possible de glisser au bas de ton ventre. Cette distance qui me permet de te voir sur la pointe des pieds et tenue debout par le cou et ma main qui te serre juste pour me sentir là.

Je voudrais être celui qui est contre toi et te branle et être celui qui regarde avec moi, vous deux prenant ce plaisir.

J'en profiterai alors pour te décrire ce que je vois. De loin et de prêt. Je m'approcherai de toi pour te donner les détails que tu n'oses imaginer mais que tu vis à l'instant. Je sais que cela te fera partir encore plus fort. Je sais que cela te montrera mon emprise.

Tu es à moi. Avoir mes yeux grands ouverts ne me suffit pas. Je veux être celui qui te tient dans ce coin. Être celui qui te fait jouir. Être ce voyeur qui nous verra tous les deux dans un plaisir égoïste. Être ce voyeur qui aura droit à encore plus de plaisir que nous deux.

mercredi 21 août 2013

Sélectionner un chemin.



La préparation d’une corde est importante.

A défaut de ne pouvoir la faire soi-même, la sélection du fournisseur de notre corde pose déjà un premier défi.

La recherche de cet artisan est en harmonie la recherche de soi. Le travail effectué par cet artisan va rester. C’est un travail qui va perdurer durant toute la vie de la corde. Les différents travaux qu’il effectue porte cet artisan à être sélectionner. Non seulement la corde qu’il va fabriquer va être choisie, mais également son travail la somme de tout son passé va transpirer dans ces quelques mètres de cordes.


La matière choisie pour son élaboration. L’origine de la matière et les différents traitements effectués pour aboutir au chevelu. Les différents procédés qui aboutiront à la création de ces cordes ne laissent pas de place au hasard. Le message diffusé lors de leur utilisation sera en résonance. Cette résonance pourra être amplifiée par un bon choix. Elle sera atténuée par un mauvais choix.

Uki hashi

Point permettant le passage entre deux domaines. Il faut comprendre "uki" et "hashi" pour appréhender la définition.

"uki": homme au statut d'enfant, avec la notion de "nager dans son milieu", celui qui maitrise son environnement.
"hashi": passage qui élève.

Le franchissement n'est pas un nouveau départ mais bien l'accès à une dimension supérieure qui englobe et intègre toutes les dimensions inférieures. Ce nouvel état ouvre à quelque chose de plus grand conférant de nouvelles formes, ne détruit pas les domaines inférieurs mais les rend infinitésimaux.

lundi 22 juillet 2013

Accepter le bruit

Une dure réalité m’a heurté. Le doute m’assaille. Le doute m’emplit. Qu’elle voie ? Le bon chemin ?

Mon kinbaku se perd. Mon kinbaku se transforme et s’égare. Je regarde mes travaux, je ne vois que du brouillon. Je regarde mon modèle et mon travail. Je revois chaque passage de corde. Je repense chaque tension. Je ressens le moment de ce mouvement avec précision. De sa naissance, avec une tension issue du mouvement précédent, à sa fixation qui permettra la naissance d’un autre mouvement. Une joie m’envahit un court instant. Et un brouillon apparaît à mes yeux. Plus rien ne me parle. Je n’arrive plus à trouver le début ni la fin. Un charabia s’expose devant mes souvenirs.

M’excuser est la seule chose que je peux ressortir de mon travail. M’excuser n’est pas la solution. Accepter ce bruit.



13 décembre 2013


Retour après quelques mois de recherches, d’études et d’échanges. Retour sur ce doute qui m’a paralysé.

« Plus on va loin, moins on connait ».

L’apprentissage se fait par l’étude, la pratique, et l’expérience. Les premières progressions sont rapides et s’appréhendent rapidement. Lors de cette étape, nous empruntons des chemins que nous voyons s’étirer de nos pieds vers l’infini. S’étirer vers l’invisible, l’inconnu.

Avec la pratique, les chemins proches de nous deviennent familiers et prévisibles. L’esprit recherche l’exploration du nouveau. Ces chemins qui s’étirent si loin, pourquoi ne pas les emprunter ? Commence alors la découverte de notre monde. Un inconnu tant il est grand. Un ami tant il est proche de nous. Un monde que l’on perçoit sans voir. Un monde que l’on soupçonne sans imaginer.

« Qui sait se borner aura toujours assez ».

Il est temps de progresser avec réflexion, avec recherche et ordonnancement. Chaque chemin nous aspire. Il faut se freiner. Il faut absolument l’arpenter et savoir revenir en arrière. Atteindre une borne. Revenir. Suivre un autre chemin, un peu plus en avant, jusqu’à atteindre une borne. Revenir. Recommencer.

Ce brouillon est toujours près de moi. Il me rappel la difficulté de franchir une marche. Il me rappel la nécessité, avec la perfection que l’on recherche, de progresser dans le sacrifice.

lundi 8 juillet 2013

Ecrire un kinbaku


Je dois t'attacher.

J'ai préparé quelques objets. Mais comment avoir ceux qu'il me faudra durant le temps que nous seront ensemble ?

A quelques mètres de moi, je t'observe depuis quelques heures. De mon sac où se mélangent toutes ces tensions, j'ai sélectionné quelques cordes. Je les ai choisies sachant qu'elles laisseraient quelques traces sur toi. Le tri m'a porté sur ce que j'allais faire de ton corps, de tes articulations, de tes mouvements. J'ai soigneusement posé ces cordes sur le sol suivant un rituel précis, mon rituel... Quelques objets accompagnent ces liens. Je les ai également choisis pour toi, avec ce que j'ai pu lire de toi, en t'observant.

Je dois t'attacher. J'ai besoin de m'exprimer sur toi.

A quelques mètres de moi, je te regarde avec toute la puissance que je vais utiliser pour t'attacher. J'utiliserai cette puissance pour t'avoir. J'utiliserai cette puissance pour te choquer, te faire réagir, te sentir vivre.

Tout prendre de toi. Ton sexe, ta bouche: aucun de tes orifices ne m’intéressent. Ils ne sont pas toi. Je veux tout le reste, tout ce qu'il y a autour. Je veux toi. Je veux tout ce qui te fait vivre: tes organes, tes muscles, ton squelette, ta peau, ton eau, ton sang. Je veux jusqu'à ta respiration.

L'instant est là.

J'utilise ta peau comme un papier. La corde est mon encre. Mon être est ma plume. Notre vocabulaire est notre émotion. Les nœuds et les frictions vont s'assembler suivant une grammaire sans règle établie mais pourtant connue de tous.

Je commence par une majuscule. Tout part de là. C'est l'accroche, l'émotion, le début et l'ouverture de la suite. Le dessin de cette majuscule commence avant le contact, bien avant. Le choix de la lettre que je vais dessiner, de la façon dont cette majuscule va ce dessiner sur tes mouvements je le connais depuis que j'ai su que j'allais d'attacher, quand tout a commencé.

A chaque passage que je dessine, le papier qui supporte mon texte se révèle à moi. Un filigrane est perceptible en relief sous ta peau. Les traces de ta vie, les traces de tes souffrances. Je perçois ces traces dans ma façon de te tenir, dans sa façon de réagir à mes impulsions.

L'encre coule. La tension de ma corde est perceptible sur tes membres, sur les courbes. Des coups de crayons sur ce papier. Une trace unique, sans droit à l'erreur. La recherche de l'écriture parfaite pour ce moment, dans une progression de l'intensité.

Un frottement de la corde, une morsure sur ta peau, un frisson, les pores de ta peau s'ouvrent pour mieux se remplir de cette encre. L'écriture devient grasse et marquée. L'encre, cette corde, se mélange à ton corps. Le papier que j'utilise accepte de transporter mon message. Mes mots se dessinent.

Une foule de mots me vient à l’esprit, une foule d'idées. Je lie mes lettres une à une. Elles se succèdent. Elles se bousculent. Une foule de mots qui se mélange, qui se mêle les uns aux autres.

Mon message est écrit. Je le scelle d'une cire fondue. J'appose mon sceau. J'appose mon point final. Cette écriture liée est figée.

Le monde lira notre message, verra nos envies, comprendra nos respects. Surgira alors notre émotion de cet instant.

mardi 25 juin 2013

Mes sommets, mon chemin, mes recherches

Comme une des seules choses que je sais bien faire : mettre un pied devant l'autre, un pied au dessus de l'autre, je gravis cette montagne.

Mon regard est perdu dans mes pensées. Mes jambes ont un rythme que je n'ai plus besoin de contrôler, un rythme dont je n'ai plus besoin d'avoir conscience.

Mon sac me pèse sur mon dos. Comme une volonté de ne pas partir, j'emporte un souvenir à chaque pas, un souvenir de vous. Mais inexorablement, les sommets me demandent.

Je suis parti ce matin sans voir là-haut, sans savoir là-haut. J'ai pris mon sac sachant que j'allais vers les nuages.

J'ai atteint ces nuages. Je les ai touchés. Je me suis mis sur la pointe de mes pieds, je me suis étiré de toute ma hauteur. Ma main a disparu dans cette substance.

J'ai senti une chaleur sur mes doigts. J'ai senti, plus haut, par delà cette épaisseur de nuage, il y a encore une montagne, un sommet. Alors j'ai remué mes bras. J'ai agité mes bras comme pour écarter ce brouillard au dessus de moi. J'ai vu ce que j'ai senti un peu avant.

Une vive lumière m’a éblouie. C’est une plaque, une roche lisse et brillante sous le soleil. Un miroir qui se dressait devant moi, au dessus de moi. Je n’étais pas encore arrivé, même si les nuages étaient là.

J'ai alors compris que je n'avais pas fini mon périple. J'ai alors compris que celui-ci serait difficile.

J’ai arrêté de bouger mes bras au dessus de moi. Je les ai remis sur les hanches. Les nuages ont repris leur place, me cachant de nouveau cette parcelle de paroi que j’ai pu voir.

Je sais qu’il y a un sommet au dessus. Je sais que ce sera difficile. J’ai remis mon sac sur mon dos, ce même sac chargé de souvenir et de vous. Je suis parti à l’assaut de cette paroi, vers un sommet.

samedi 10 novembre 2012

Cette irrésistible envie

Cette irrésistible envie est en moi, dans le bas de mon ventre. Elle me brûle. Elle m'excite. Je suis en pleine érection. Je ne peux pas me retenir. Il faut. C'est difficile. Cette envie me pousse. Mais je suis dans ta bouche. Les mouvements de ta langue tienne mon érection et accroit mon besoin et ma raideur.

Ma vessie est pleine. Je suis sans possibilité de me soulager. Ta langue est trop expérimentée. J'aime cela. Sentir ma raideur et cette envie de me lâcher en toi. Cela m'excite. Ta succions m'excite. Me soulager m'excite. Ce plaisir est une douleur.

Je t'attrape par ta nuque. Je te force à bien avaler mon sexe. A bien le placer dans ta gorge, bien au fond, sous ta glotte. Je te bouche le nez. Je profite de ta moindre inspiration contrainte par la bouche pour m'enfoncer plus en toi. Je me raidi. Tu sens, là, au fond de ta gorge, et ta langue qui n'a plus que le choix d'enrouler ma queue.

Bien installer, je peux enfin me soulager. Je sors de mes pensées, me concentre et me ramolli légèrement, suffisamment pour que mon urine puisse couler. Ce jet chaud me soulage et rempli ta bouche. Ta surprise cède la place au plaisir de boire. J'entends tes "hummmmm" de plaisir.

Trop plein, bouche trop pleine, gorge trop chatouillée, tu dégueules se que je viens de te donner. Je sens des sursauts. Tu veux sortir ta tête de là. Hors de question. Je te plaque fortement contre le bas de mon ventre. Ma queue fait bouchon. Ton dégueulis, tu ne peux pas l'expulser. Tu bois la tasse. Tu tousses. Quelques gouttes arrivent à s'échapper. Elle forme un filet qui relit ta bouche à tes genoux, en coulant le long de mes couilles.

Tu es rempli de mon urine. Son odeur rempli ton nez. Son goût envie ton palais.

Je daigne enfin relâcher ma contrainte. Tu recules dans l'élan d'une toux. Tu vomis. Ton torse est couvert de mon odeur. Tes genoux, tes pieds baignent dans la pisse que tu as rendue. Mes waders sont couverts. Tu les nettoieras lorsque j'en aurai fini avec toi.

Je me sens mieux et soulagé. Tu as progressé.

vendredi 2 novembre 2012

Clip: Hurricane

Thirty Seconds To Mars - Hurricane


Session: Restriction Couple

Préambule
Un couple possède toujours une personne active et une autre passive. Les rôles peuvent s'inverser mais cette dominante reste. Cette session, l'animation que j'assure, permet à une personne du couple de renforcer sa domination, ou à l'autre d'assoir sa passivité.

Pour qui ?
Cette session s'adresse aux couples curieux et très complices.
Je ne considère pas les sessions "en couples" à la légère. Je demande à parler aux deux personnes avant de faire une proposition.

Durée
1h30 minimum -hors douche de départ.
A vous d'ajouter du temps si vous le souhaitez.

Description 
Une rencontre préalable du couple est obligatoire. Cette rencontre me permettra de juger de votre cohésion et à vous, de juger de mes capacités à répondre à votre fantasme.

Durant cette discussion, une suite d'ateliers est décrite avec un "j'aime", "j'aime pas" ou "je suis curieux(se) de votre part. Je prends en considération ces aspects lors de la session. Ainsi, rien n'est prévu. La surprise est toujours présente, mais le fantasme se vit.

Inclus:
  • Rencontre hors de mon local
  • Mise en forme d'un scénario
  • Réalisation avec matériel éventuellement nécessaire
  • Douche de nettoyage avant de partir
  • Retour d'appréciation
A essayer avec -non inclue dans le tarif:
- en groupe !


Besoin d'un autre type de session ? Cherchez dans les tags sur la droite du blog, ou la page Sessions.

jeudi 6 septembre 2012

Corde

Je sors une corde de jute de mon sac de toile.

Dans mon sac de toile, il y a quelques cordes, un ciseau et des chiffons de tissus. Une corde me suffira pour commencer. Je la saisie d'une main.

De l'autre main je tiens les poignets de ma modèle. Ses deux mains sont contre sa poitrine, coudes repliés. Je l'enserre de mon bras. Je suis un étau. Je la tiens fermement contre moi. Ma poitrine est contre son dos. Mon souffle court sur sa nuque. Je sens ses cheveux bouger sous mes expirations. Quelques souffles longs me suffisent à me synchroniser avec elle. J'inspire en sentant sa poitrine se gonfler. J'intensifie le serrage sous les gonflements de nos poumons. Le relâchement de cette tension m'informe du début de son expiration. Je me mets en phase avec elle. J'expire. Je profite de se léger relâchement de nos deux corps pour la serrer un peu plus, encore. Elle devient plus proche de moi. Elle devient ma proie.

Je sors une corde
Doucement je remonte ma main tenant la corde que j'ai sortie de mon sac de toile. Je la remonte le long de son corps. Je commence de l’extérieur de sa cuisse. Je tourne autour. Je la fais frotter contre sa peau, entre ses jambes. Je remonte sous son fin vêtement de soie. Je frôle volontairement son sexe. Je ne le touche pas. Les légères frictions lui font dresser les poils. Je laisse le jute les caresser. Une chair de poule se fait sentir sur sa peau, sur ses épaules et sur le haut de son dos. Son souffle s'accompagne d'un léger gémissement. Il faut être contre elle pour l'entendre. Il est à peine perceptible. Je ne m'attarde pas: j'aurai le temps de la faire jouir une fois quelle sera dans mes griffes. Je vais utiliser mes chiffons de tissus pour lui faire un bâillon. Je pourrai revenir sur son sexe et le caresser d'une corde, ou de ma main. Elle criera en silence.

Enserrée dans mes bras, je tiens ma modèle fermement. J'approche ma corde, encore enroulée, pour saisir la boucle qui me permettra, en quelques tours, de la préparer sans lâcher ma victime. D'un coup sec, je jette au loin les extrémités. Elle finit de se dérouler. Ses extrémités vont se perdre au fond de la pièce. Elle est prête à s'enrouler autour de ma prise. Il reste dans mes mains, une boucle de corde et ses poignets.

Elle est contre moi. Je vais attacher ses poignets. Je vais lui faire sentir que je suis sur elle. Elle sait maintenant que son avenir est dans mes cordes. J'ai d'autres cordes de jute dans mon sac en toile.

jeudi 9 août 2012

Clip: Meine Teil

Meine Teil - Rammstein
Wikipédia pour une petite histoire.
Version originale et traduite (cf.  lacoccinelle.net)


Mein Teil
Ma Part

Suche gut gebauten 18 bis 30 Jährigen
Cherche homme bien bâti de 18 à 30 ans
Zum Schlachten
Pour l'abattoir
- Der Metzgemeister
- Le maître boucher
Heute treff ich einen Herrn
Aujourd'hui je rencontre un homme
Der hat mich zum Fressen gern
Qui voudrais bien me manger
Weiche Teile und auch harte
Les parties tendre et aussi les dures
Stehen auf der Speisekarte
Sont écrites sur le menu

[Refrain]
Denn du bist, was du isst
Car tu es ce que tu manges
Und ihr wisst, was es ist
Et vous savez ce que c'est
Es ist mein Teil - (nein)
C'est ma part - (non)
Mein teil - (nein)
Ma part - (non)
Da - das ist mein Teil - (nein)
Ça - C'est ma part - (non)
Mein Teil - (nein)
Ma part - (non)

Die stumpfe Klinge gut und recht
La lame est émoussée comme il faut
Ich blute stark und mir ist schlecht
Je saigne beaucoup et je me sens mal
Muss ich auch mit der Ohnmacht kämpfen
Je dois aussi me battre contre l'impuissance
Ich esse weiter unter Krämpfen
Je continuerai de manger même avec des crampes
Ist doch so gut gewürzt und so schön flambiert
C'est si bien assaisonné et flambé
Und so liebevoll auf Porzellan serviert
Et présenté avec amour sur de la porcelaine
Dazu ein guter Wein und zarter Kerzenschein
Avec en plus un bon vin et la douce lumière des bougies
Ja da lass ich mir zeit, etwas Kultur muss sein
Je prend mon temps, il faut savourer

[Refrain]

Ein Schrei wird zum Himmel fahren
Un cri ira jusqu'au ciel
Schneidet sich durch Engelsscharen
Coupera a travers une foule d'anges
Vom Wolkendach fällt Federfleisch
De la viande d'ange tombera des nuages
Auf meine Kindheit mit gekreisch
Avec des hurlements sur mon enfance
Das ist mein Teil - (nein)
C'est ma part - (non)
Mein Teil - (nein)
Ma part - (non)
Da - das ist mein Teil - (nein)
Ça - c'est ma part - (non)
Yes it's mein Teil - (nein)
Si, c'est ma part - (non)



Et une version un peu plus croustillante.


vendredi 6 juillet 2012

Un renouvellement mordant

La période des soldes est propice aux petits achats et au renouvellement du petit matériel.

Ce petit mors ne paye pas de mine ainsi placé. Mais dans une bouche, il prend tout son sens:
  • mordu à la trace lors d'une séance éléctro,
  • utilisé pour maintenir la tête en arrière lors d'une punition
  • point de rappel lors d'une sodomie ou levrette, tel un mors de cheval
  • plaisir d'un pony play


Tu vois d'autres utilisations pour ce mors ? Fais-moi en part de tes idées. Il y a toujours un moyen de l'ajouter dans nos jeux.

Je te parlerai plus tard de la canette. Là aussi, il y a des choses à faire avec, tu en conviendras.