lundi 24 novembre 2014

Déteste-moi

Mords-moi ! Mords moi et déteste moi puisque tu ne peux m'aimer. Laisse moi te donner cette ivresse qui te rempli le coeur.

Baise ma main du bonheur qu'elle te donne. Mords en les chairs. Ronge les os qui composent ses extrémités. Durant ce temps tu es auprès de moi, apprivoisée et prévisible.

Le festin terminé et ta haine en vers moi consommée, restes à mes côtés, à mes pieds, à mon cou, contre ma peau, toujours auprès de moi.

Je finis de me délecter de l'attention que tu portes sur moi et je m'occuperai à mon tour de te rendre ce plaisir.

Je vais te prendre. Je te pénétrerai avec un sexe dur comme les os que tu as rongé. Je te ferai crier dans la jouissance aussi fort que j'aurai pu crier lorsque tu me mordais.

Reste à mes pieds. J'ai besoin de toi.

mardi 4 novembre 2014

Un trou

Je dois te dire que je mets un de mes leggings en lycra. Enfiler serait plus le terme, car il est très ajusté, très moulant.

J'aime le mettre alors que je suis excité. Il a une particularité qui rend ce legging obscène. Un petit trou est fait à l'emplacement de mon sexe. Ce petit trou a l’allure d'une mauvaise couture, anodine. Pourtant obscène car par ce trou j'aime sortir la queue et les testicules.

Il y a dans cette vision quelque chose qu'une salope ne pourrait retenir. Juste un organe sexuel mâle bandant, raide et mis en évidence par cette sorte de glory-hole et cock-ring. Ce trou est suffisamment petit pour faire la même sensation. As-tu cette vision ?


Vais-je te dire que je vais me branler ainsi ? Plus fort que tu crois mais avec la frustration de ne pas utiliser un des orifices de la chienne que tu deviens, en guise de branleuse.

Oserai-je te dire des choses comme celles là ?