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dimanche 4 mars 2018

Du sang et du sperme

Certains hommes t'ont baisée par ton sexe et l'ont rempli. D'autres ont déchargé dans ton cul et ou dans ta bouche. Ils ont craché leur semence hors de leur corps pensant qu'il entrait dans le tien. Tous ont été rejetés au final.

L'échec.

Je t'ai prise par le premier orifice que j'ai trouvé. Ce devait être ta bouche ou alors celui que tu as formé en resserrant tes seins. Toujours ce besoin de te remplir de moi. Tout en te donnant mes coups, d'autres tombaient : la lame d'un couteau taillait ta peau pour l'ouvrir sur plusieurs longueurs. L’intérieur de toi est devenu enfin accessible. Ton sang coule. Ce même sang qui parcourt tout ton corps jusque dans les moindres recoins.

Les ouvertures.

J'ai joui sur ces entailles. J'y ai craché mon sang. Mon sperme c'est mélangé à ton sang. J'ai vu mon sperme blanc devenir rouge. Par les entailles, il est entré en toi et maintenant, mon sperme est en toi. Il parcourt ton corps comme ton sang. Je m'excite jusque dans les moindre recoin de ton corps. Sous ta peau, maintenant, il y a moi.

Au fond de toi.

A partir de maintenant, je te possède comme aucun autre mâle ne pourra te posséder.

vendredi 23 septembre 2016

G. Bataille

"Dorothea se rapprocha de moi. Longuement elle m’embrassa dans la bouche. Elle m’enlaça, me serrant violemment : c’était la première fois depuis longtemps qu’elle se déchaînait. Hâtivement nous fîmes dans la terre labourée, hors du chemin, les dix pas que font les amants. Nous étions toujours au dessus des tombes. Dorothea s’ouvrit, je la dénudait jusqu’au sexe. Elle même elle me dénuda. Nous sommes tombés sur le sol meuble et je m’enfonçai dans son corps humide comme une charrue bien manœuvrée s’enfonce dans la terre. La terre, sous ce corps, était ouverte comme une tombe, son ventre s’ouvrit à moi comme une tombe fraîche. Nous étions frappés de stupeur, faisant l’amour au dessus d’un cimetière étoilé. Chacune des lumières annonçait un squelette dans une tombe, elles formaient ainsi un ciel vacillant, aussi trouble que les mouvements de nos corps mêlés . Il faisait froid, mes mains s’enfonçaient dans la terre: je dégrafait Dorothea, je souillai son linge et sa poitrine de la terre fraîche qui s’était collée à mes doigts. Ses seins, sortis de ses vêtements, étaient d’une blancheur lunaire."

- George Bataille, Le jour des morts.

vendredi 1 juillet 2016

Regarde-moi ! Je suis Sa salope

- C'est dans ces moments là que j'ai qu'une envie sexuelle de m'affirmer sur toi... Va dans les toilettes ! Branle toi ! Mouille et ramène moi ton jus à lécher.. sur nos doigts !
- Difficile de se branler debout.
- C'est pas mon affaire ... Ma chatte... ! Reviens... Tu reviendras sans ta culotte...
- Et ?
- Tu me feras lécher tes doigts encore mouillés. Je te dirai "Glisses mes doigts dans ta fente encore humide et regarde cette rivale qui te faire bouillir intérieurement. Tout intérieurement, juste du regard, dit lui : "Il est a moi ! Salope ! Sa salope... c'est moi. Là.. C'est moi qu'il fouille de ses doigts. Regarde moi ! Salope ! Regarde moi... Comme c'est bon.. Ses doigts et te voir dépitée comme ça... regarde moi en jouir !"

dimanche 10 août 2014

Le voyeur

Être simplement acteur ne suffit pas. L'envie ne se complète pas. Il manque une chose qui permet d'avoir la satisfaction entière.  Si j'avais eu un miroir ce jour là !


Plaquée dans l'angle des murs, ma main te tient par le cou, à bout de bras.

Tu es debout et nue. Je t'ai arraché tes sous vêtements en te poussant dans ce coin. Je veux ton corps pour mon plaisir. Mes yeux sont grands ouverts. Ils te regardent. Un doigt te caresse les lèvres du sexe. Il te branle et cherche ton plaisir.

Je n'ai qu'une envie à ce moment. Me dédoubler. Pouvoir être à quelques mètres. Être plus loin que la portée de mon bras. Suffisamment loin pour avoir une vue de toute la scène. Voir tes jambes qui s'écartent et se resserrent légèrement pour qu'il soit possible de glisser au bas de ton ventre. Cette distance qui me permet de te voir sur la pointe des pieds et tenue debout par le cou et ma main qui te serre juste pour me sentir là.

Je voudrais être celui qui est contre toi et te branle et être celui qui regarde avec moi, vous deux prenant ce plaisir.

J'en profiterai alors pour te décrire ce que je vois. De loin et de prêt. Je m'approcherai de toi pour te donner les détails que tu n'oses imaginer mais que tu vis à l'instant. Je sais que cela te fera partir encore plus fort. Je sais que cela te montrera mon emprise.

Tu es à moi. Avoir mes yeux grands ouverts ne me suffit pas. Je veux être celui qui te tient dans ce coin. Être celui qui te fait jouir. Être ce voyeur qui nous verra tous les deux dans un plaisir égoïste. Être ce voyeur qui aura droit à encore plus de plaisir que nous deux.