Je ne sais pas si j'étais bien là, ni si c'était moi.
Couché sur le côté, j'ai senti, dans la nuit, une chaleur contre mon ventre. J'ai senti la peau d'une femme venir contre moi.
Je ne sais pas si tu étais bien là, ni si c'était toi.
Quand tes fesses sont venues contre moi, j'ai senti mon sexe dur. Je pouvais nettement l'imaginer remonter, logé dans cette entaille qui me conduisait en enfer, celle qui ouvre ton cul en deux.
Ma queue a forcée l'espace entre tes deux cuisses serrées l'une contre l'autre. Ma queue, raide de ne pouvoir s'y glisser facilement, à surgit de l'autre côté de tes jambes. Elle s'est présentée devant ton sexe. Tirée vers le haut par un léger mouvement de tes jambes, cette barre qui sort de mon corps s'installe entre les lèvres de ton sexe.
Mes mains ! Mes mains pleines de mes doigts entrent dans ta bouche. Ils pénètrent ce trou, se placent de chaque côté, comme un mors qui te tient la bouche ouverte et tirée en arrière.
Tes jambes serrent mon sexe. Ton sexe glisse sur mon barreau. A force de petits mouvements, il se recouvre de ce gel que ton corps sécrète sous l'excitation. La nature nous a faite ainsi: moi la barre, le tendu et sec, toi le trou, le déformé, le mouillant.
J'accompagne tes mouvements avec mes hanches. Je me branle. Tes cuisses me branlent. Ton sexe me lubrifie. Mon sexe te branle.
Mon sperme jaillit. Il sort de devant tes jambes, sous ton con. Il gicle. Ton sexe éjacule mon sperme.
Mes mains distendent ta bouche, la déforme. La salive coule le long de mes doigts. Mes mains sont placées de chaque côté, plaquées contre tes joues.
Je râle. Je jouis. Je spasme. Je serre. Je crie. Je halète. Je pleure.
Ma branleuse, je t'ai senti cette nuit, venir contre moi.
Couché sur le côté, j'ai senti, dans la nuit, une chaleur contre mon ventre. J'ai senti la peau d'une femme venir contre moi.
Je ne sais pas si tu étais bien là, ni si c'était toi.
Quand tes fesses sont venues contre moi, j'ai senti mon sexe dur. Je pouvais nettement l'imaginer remonter, logé dans cette entaille qui me conduisait en enfer, celle qui ouvre ton cul en deux.
Ma queue a forcée l'espace entre tes deux cuisses serrées l'une contre l'autre. Ma queue, raide de ne pouvoir s'y glisser facilement, à surgit de l'autre côté de tes jambes. Elle s'est présentée devant ton sexe. Tirée vers le haut par un léger mouvement de tes jambes, cette barre qui sort de mon corps s'installe entre les lèvres de ton sexe.
Mes mains ! Mes mains pleines de mes doigts entrent dans ta bouche. Ils pénètrent ce trou, se placent de chaque côté, comme un mors qui te tient la bouche ouverte et tirée en arrière.
Tes jambes serrent mon sexe. Ton sexe glisse sur mon barreau. A force de petits mouvements, il se recouvre de ce gel que ton corps sécrète sous l'excitation. La nature nous a faite ainsi: moi la barre, le tendu et sec, toi le trou, le déformé, le mouillant.
J'accompagne tes mouvements avec mes hanches. Je me branle. Tes cuisses me branlent. Ton sexe me lubrifie. Mon sexe te branle.
Mon sperme jaillit. Il sort de devant tes jambes, sous ton con. Il gicle. Ton sexe éjacule mon sperme.
Mes mains distendent ta bouche, la déforme. La salive coule le long de mes doigts. Mes mains sont placées de chaque côté, plaquées contre tes joues.
Je râle. Je jouis. Je spasme. Je serre. Je crie. Je halète. Je pleure.
Ma branleuse, je t'ai senti cette nuit, venir contre moi.
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