vendredi 12 décembre 2014

Collants lubriques

Que dirais-tu si je sortais quelques paires de collants en nylon de mes tiroirs ? Ce sont des collants que je garde pour ces moments lubriques qui me traversent l'esprit.

Que penserais-tu si une fois couverte de ces collants, à l'intérieur de la tête aux pieds, je te caresse le corps. Mon intention est simple et sans détour. Je te veux dans ces collants. Je veux te faire jouir. Mais te faire jouir ne suffirait pas. L’acte est trop facile.

Je voudrais également te déstabiliser pour que tu jouisses dans cet état perdu entre "Que m'arrive t il ?" et "C'est si bon ?" Comment te porter dans ces états ? Simplement en te poussant sous la douche.

Sais-tu sous la douche comment fait un tel collant ? Il agit comme un masque où tu dois penser à respirer sans avaler l'eau, sans risquer une noyade.

Pendant que je prends du plaisir avec les orifices au choix: tes reins ou ton ventre, en garçon ou en femme.... l'eau se charge de mouiller et nettoyer mon sexe à chaque changement. Cette même eau que je bois coulant de ta fente du grand plaisir avec une bouche gobeuse.

La sensation de l'eau sous la douche. Les “flotchs” de l'eau lorsque mes hanches tapent ton cul. Jouir sur toi en mélangeant l'eau et mon sperme. Le collant que tu portes retenant cette mixture.

Une façon de te posséder qui ne me suffit pas. Il me faudrait après ça ajouter ma pisse à ce mélange. A ce moment là seulement, je te sentirai à moi.

C'est ce dont j'ai envie maintenant, après avoir pris ma douche.

mardi 9 décembre 2014

Les secrets

Te livreras-tu à moi ?
M'avoueras-tu tes pires pensées ?
Me montreras-tu tes forfaits les plus disgracieux ?
Me décriras-tu tes pires crimes ?
Laisse-moi entrer dans ces choses inavouables.
Partage-moi ces secrets que je puisse user de ton corps et de ton âme sous le joug de cette menace. Je pénètrerai plus profond en toi.

lundi 24 novembre 2014

Déteste-moi

Mords-moi ! Mords moi et déteste moi puisque tu ne peux m'aimer. Laisse moi te donner cette ivresse qui te rempli le coeur.

Baise ma main du bonheur qu'elle te donne. Mords en les chairs. Ronge les os qui composent ses extrémités. Durant ce temps tu es auprès de moi, apprivoisée et prévisible.

Le festin terminé et ta haine en vers moi consommée, restes à mes côtés, à mes pieds, à mon cou, contre ma peau, toujours auprès de moi.

Je finis de me délecter de l'attention que tu portes sur moi et je m'occuperai à mon tour de te rendre ce plaisir.

Je vais te prendre. Je te pénétrerai avec un sexe dur comme les os que tu as rongé. Je te ferai crier dans la jouissance aussi fort que j'aurai pu crier lorsque tu me mordais.

Reste à mes pieds. J'ai besoin de toi.

mardi 4 novembre 2014

Un trou

Je dois te dire que je mets un de mes leggings en lycra. Enfiler serait plus le terme, car il est très ajusté, très moulant.

J'aime le mettre alors que je suis excité. Il a une particularité qui rend ce legging obscène. Un petit trou est fait à l'emplacement de mon sexe. Ce petit trou a l’allure d'une mauvaise couture, anodine. Pourtant obscène car par ce trou j'aime sortir la queue et les testicules.

Il y a dans cette vision quelque chose qu'une salope ne pourrait retenir. Juste un organe sexuel mâle bandant, raide et mis en évidence par cette sorte de glory-hole et cock-ring. Ce trou est suffisamment petit pour faire la même sensation. As-tu cette vision ?


Vais-je te dire que je vais me branler ainsi ? Plus fort que tu crois mais avec la frustration de ne pas utiliser un des orifices de la chienne que tu deviens, en guise de branleuse.

Oserai-je te dire des choses comme celles là ?