dimanche 12 octobre 2014

Devenir un homme

Une femme m'a transformé en homme.

Une main appuyée contre le mur, à coté d’un miroir, face à nos reflets et avec beaucoup de mal, elle m’a regardé la caresser, soulever sa robe, ouvrir sa culotte, la baiser. Je la pénétrais en voulant qu’elle s'affirme en femme.

Je l'ai forcée à se regarder elle: dans son âme, dans ses yeux, dans ses mouvements, dans son reflet. Je lui ai ordonné de regarder. Mais elle m’a cherché que dans mon reflet, sous chacun de mes mouvements, dans mes regards, dans mon âme. Elle, malgré sa soumission, m'a transformé en quelques refus à mes désirs.

Derrière elle et à côté d'elle, elle m'a montré dans ce miroir qui j'étais. J’ai senti avoir été révélé. J’ai senti cette sensation de force, de puissance, de possession et de fierté. Elle m’a affirmé en homme fier et fort.

J'ai transformé une fille en femme.


samedi 4 octobre 2014

Jouir

Crois tu que la détermination que j'ai à te faire jouir par ton cul, se limite à l'odeur nauséabonde qui en sort ?
Crois tu que j'ai une envie qui peut s'arrêter là où se trouve les matières répugnantes ?
Crois tu vraiment que mon envie soit si légère ?
Ton cul merdeux ne m'arrêtera pas.
Je veux te voir et t'entendre jouir. Tu jouiras.

vendredi 26 septembre 2014

Retournée

Je t’inspecte alors que tu es assise sur la table. Ta position, cette façon de cacher la tasse de café que j’avais mis là auparavant. Tu ne vas pas fondre. Pas contre, ton sexe.... Je ne t'en ai pas encore parlé. Tu me l'as pourtant montré.
 
Je ne suis pas très patient. Quelques morsures légères sur l'intérieur de tes cuisses. Mes mains autour de tes chevilles te serrent pour tenir tes jambes. Je m'aventure entre tes jambes mais je suis présent grâce à ces chevilles et cette pression que je tiens.
 
Sentir que je m'approche de tes lèvres. Enjamber ton sexe avec juste un souffle dessus. Passer sur l'autre intérieur de jambe. Par dépit attraper ma tête et la pousser sur ton sexe comme si c'était un gode que tu voulais entrer, te pénétrer avec ce : "Tu vas me lécher !"
 
Je vais juste lécher de ma langue. Comme ferait un chat pour lécher le lait, coup de langue après coup de langue. Un peu de salive et te goûter. Sortir ma langue en embrassant ton sexe à pleine bouche comme je pourrai faire avec celle que je vois au dessus de moi....
 
Moi si dominateur, je te regarde d'en bas,.... le regard vers le haut… ta toute puissance que je vois basculer dans le plaisir. Je vois, là-haut, tu te mors un peu les lèvres.
 
Fouiller. Placer mes doigts devant ta bouche pour que tu les suces et les lèches comme si, hors humain, ... mon plaisir est que là, que par ces doigts.
 
Pendant que c'est ton sexe que je dévore comme je t'embrasse, ma langue entre dans ton con. Pendant que je tourne ma langue dans cette bouche, ta bouche, la vraie, avale mes doigts.
 
Mon autre main appui sur le bas de ton ventre. Tu te plies. Tes deux bouches sont vers l’avant. Toutes plus offertes à mes doigts, à ma bouche. Ce bruit d'humidité, un mélange des salives.
 
Serrer tes jambes. Entourer de cette bouche, sa langue. Sucer ce clitoris. Dure, répondant à chaque petit coup. Te tortiller de peur de perdre cette langue improvisée.
 
Glisser ta langue entre mes doigts.... comme avoir plusieurs queues. Un membre à 4 queues que tu peux lécher une à une ou engouffrer ensemble. Finalement mettre ces quatre autres bites qui t’appuyaient le ventre, dans cette autre bouche que j'embrassais. Ma bouche a travaillé l’orifice. Il est humide, ouvert. Il cri de continuer.
 
Et avec mes doigts dans ta bouche, prendre le dessus. Enfin te montrer que tu peux te lâcher. Le dominateur repentit, le chasseur c’était caché entre tes jambes. Te tirer vers le bas.
 
Te donner par ces bites dans ta bouche les mouvements que tu dois faire pour avaler mes doigts de l'autre bouche. Te faire comprendre par la bouche que tu vas sucer mes doigts, avec ton sexe. Je te dirige telle ma marionnette. A chaque mouvement que je te montre de faire, tu vas les avaler, les recracher et les avaler à nouveau. Mouvement de hanche après mouvement de hanche. Encore une ondulation. Encore plus profond.
 
Ouverte !
 
Satisfait, je te regarde reprendre ton souffle. Tu voulais dire "stop" : Stop stop stop !!!! Dans mon regard, tu l’as senti: cela ne m'empêchera pas de te retourner par les cheveux, de te plaquer sur la table et de t’enculer. C'est le bon terme.
 
Juste un peu de salive sexuelle sur ma queue en la frottant contre ton sexe. Te pénétrer. Enfin !
 
Tourner un peu ta tête. La joue plaquée contre la table, voir tes yeux qui me regardent de côté à travers les cheveux. Tu as réalisé ce que tu étais devenu. Mon sexe dans ma proie. Cette proie avide d’être pénétrée et terrifiée par son avenir.
 
Te prendre jusqu'à ce que je veuille jouir.
 
Te relever. Rester en toi. Te serrer dos contre mon ventre avec mes bras qui t'entourent. La tendresse après la violence. Ce besoin de prouver une tendresse forte après la violence de mon envie.
 
Je suis dans ton cul. Je débande. Je te serre fort contre moi. L’acte serviteur, qui n’était qu’un acte de chasse sexuelle, se termine dans un acte de tendresse. Et pourtant, toutes les fois, l'affection transpirait.

dimanche 21 septembre 2014

Ma branleuse de cette nuit

Je ne sais pas si j'étais bien là, ni si c'était moi.

Couché sur le côté, j'ai senti, dans la nuit, une chaleur contre mon ventre. J'ai senti la peau d'une femme venir contre moi.

Je ne sais pas si tu étais bien là, ni si c'était toi.

Quand tes fesses sont venues contre moi, j'ai senti mon sexe dur. Je pouvais nettement l'imaginer remonter, logé dans cette entaille qui me conduisait en enfer, celle qui ouvre ton cul en deux.

Ma queue a forcée l'espace entre tes deux cuisses serrées l'une contre l'autre. Ma queue, raide de ne pouvoir s'y glisser facilement, à surgit de l'autre côté de tes jambes. Elle s'est présentée devant ton sexe. Tirée vers le haut par un léger mouvement de tes jambes, cette barre qui sort de mon corps s'installe entre les lèvres de ton sexe.

Mes mains ! Mes mains pleines de mes doigts entrent dans ta bouche. Ils pénètrent ce trou, se placent de chaque côté, comme un mors qui te tient la bouche ouverte et tirée en arrière.

Tes jambes serrent mon sexe. Ton sexe glisse sur mon barreau. A force de petits mouvements, il se recouvre de ce gel que ton corps sécrète sous l'excitation. La nature nous a faite ainsi: moi la barre, le tendu et sec, toi le trou, le déformé, le mouillant.

J'accompagne tes mouvements avec mes hanches. Je me branle. Tes cuisses me branlent. Ton sexe me lubrifie. Mon sexe te branle.

Mon sperme jaillit. Il sort de devant tes jambes, sous ton con. Il gicle. Ton sexe éjacule mon sperme.

Mes mains distendent ta bouche, la déforme. La salive coule le long de mes doigts. Mes mains sont placées de chaque côté, plaquées contre tes joues.

Je râle. Je jouis. Je spasme. Je serre. Je crie. Je halète. Je pleure.

Ma branleuse, je t'ai senti cette nuit, venir contre moi.