J’ai fermé les yeux très forts. J’ai jouis dans ses mains habiles. J’ai jouis dans mes larmes. Je ne voulais pas mais l’attente, l’absence, le manque, la solitude et la fadeur d'une masturbation me pèsent.
Je ne devais pas la suivre cette femme devant moi. Cette prostitué me fait avancer contre ma volonté. Je ne veux pas me retrouver à placer mes pas dans les siens. Ses “Mon chou” ont eu raison de ma volonté. Mon cœur s’emballe de nouveau. Je me sens puceau tellement j’ai voulu attendre. Je tremble. Je ne sais pas si je dois bander et la suivre aveuglement ou si je dois prendre les jambes à mon cou, redescendre 4 à 4 les marches des escaliers et m’évaporer dans le rue.
Arrivé dans sa chambre, elle n’a pas pris le temps que je me déshabille. Assise sur le bord de son lit, elle est déjà prête à oeuvrer contre mon désir mais avec mon plaisir d’homme. Ses jambes ouvertes m’indiquent la place que je dois occuper. je dois être debout et devant elle.
Sa main percutent la base de ma verge et décalotte et calotte mon gland. Ses seins rebondissent à chaque mouvement de sa main. Ses jambes, où elle a, habile métier, dévoilée que le bas de ses cuisses. Cruelle torture d'imaginer son sexe ouvert, mouillé et pressé.
Je ne dois pas regarder. Je me concentre pour garder mes yeux fermés. Je ne dois pas imaginer. J’ai tellement refusé de monter à ses appels d’un “Chéri !”. Je ne peux pas.
Elle m’excite tant. Ma volonté est perdue.
“Salope ! C'est si bon.”