Latex - Kinbaku - Domination - BDSM
Journal d'un dominateur fétichiste du latex, adepte du BDSM au féminin ou au masculin, de tous genres, pour tous les couples, pour beaucoup de pratiques.
jeudi 19 mai 2022
Dérive
"Ajoutez dans vos bagages cette capote que je viens de remplir. Et puis non! Mettez la plutôt dans votre sexe. Elle sera chaude et toute vivante lorsque vous la sortirez" -encore une dérive.
vendredi 1 janvier 2021
jeudi 6 juin 2019
Un avion
As tu vu qu'un avion est passé dans le ciel ?
J'ai un peu attendu sur la grande place en haut mais tu n'es pas venu. J'ai trouvé un mec mais il n'a pas voulu boire un verre. Il s'est fait enculer dans la pénombre de sa cave. J'ai aimé avoir cette chose au bout et autour de mon sexe. J'ai laissé le bâtard couché sur le sol poussiéreux. Il avait le cul couvert de merde, de sperme et de crachats. Il couinait. Il était perdu dans son traitement. Il aurait préféré que je l'enferme dans ce réduit et que je donne la clef au premier qui m'en donnerait 100euros. Je suis parti avant que la lumière s’éteigne.
As-tu vu qu'un autre avion va passer dans le ciel ?
J'ai un peu attendu sur la grande place en haut mais tu n'es pas venu. J'ai trouvé un mec mais il n'a pas voulu boire un verre. Il s'est fait enculer dans la pénombre de sa cave. J'ai aimé avoir cette chose au bout et autour de mon sexe. J'ai laissé le bâtard couché sur le sol poussiéreux. Il avait le cul couvert de merde, de sperme et de crachats. Il couinait. Il était perdu dans son traitement. Il aurait préféré que je l'enferme dans ce réduit et que je donne la clef au premier qui m'en donnerait 100euros. Je suis parti avant que la lumière s’éteigne.
As-tu vu qu'un autre avion va passer dans le ciel ?
jeudi 14 mars 2019
Répandre
Mets-toi nue. Place toi à califourchon sur moi. Frotte ton sexe gluant
sur ma peau. Étale ton jus sur ce devant, ce derrière, ces jambes, ces
bras.
Répand toi sur moi.
Répand toi sur moi.
vendredi 22 février 2019
dimanche 17 février 2019
Janus
"[...]
- Vous partez déjà?
- On est fatigués.
- Dommage. Tout le monde s'amuse. [...] Et c'est juste le début.
- Vous êtes qui ?
- Un esprit affranchi. Avec un grand geste du bras pas lequel il englobe la clientèle du Club. "Comme eux".
De ma bouche ne s'échappe aucun mot, mais dans ma tête, ma réplique est cinglante. Je n'en peux plus de ce discours entendu mille fois, que j'ai moi-même tenu à une époque où j'étais plus exalté ou simplement plus naïf. Oui, oui, oui, dans ce genre d'endroit on n'en à rien à branler des tabous, on joue avec, on les moque, on les méprise et l'on méprise aussi la bonne société, répressive et sectaire. Et par la démonstration d'une curiosité sans limites, d'une ouverture d'esprit, d'une audace à aller au-devant du sombre, de l'organique, du prohibé, du sale, à explorer les limbes qu'elle n'ose pas approcher, on lui prouve qu'elle ne contrôle rien, et nous encore moins. Qu'au fond, on lui est supérieurs, parce qu'on sait et qu'on peut, nous. Alors qu'on nous lâche la grappe, bla, bla, bla et qu'importe la manière de prendre son pied, si on ne fait de mal à personne, ha, ha, ha.
De la merde, c'est tout.
Pas plus ici que dans le monde vanille, celui des pauvres cons rétifs aux délectables violences du subspace, la liberté n'existe pas. Objet ou sujet, l'autre est enfer nécessaire, il nous enchaîne à lui. Faire fi de l'interdit implique son existence. Sans interdit, impossible de se penser en affranchi, à moins de devenir la norme et la norme, c'est la fin garantie de toute forme de licence. Et que dire de nous-mêmes, de nos vies, de ce qu'elles nous réservent, nous sommes tous prisonniers de nos propres expériences.
Libre, quelle blague.
Notre autojustification acrimonieuse d'anars de la fesse marquée n'a guère plus de valeur que les tartufferies moralistes des réacs de la vertu. Tous nous manifestions la même arrogance intolérante et planquons notre dictatorial égoïsme derrière de belles postures. La baise, c'est le miroir magique de l'humanité. Le comprendre peut faire peur, mal ou soulager, tout dépend du reflet, mais il est inutile de se voiler la face, le sexe réveille nos failles et nos limites, bien réelles, inaltérables et infranchissables. Le reste, c'est du vent. On est comme on nique et on est ce qu'on nique, rien de plus.
Mais je ne suis pas d'humeur à expliquer tout cela [...]"
- Lykaia, DOA
- Vous partez déjà?
- On est fatigués.
- Dommage. Tout le monde s'amuse. [...] Et c'est juste le début.
- Vous êtes qui ?
- Un esprit affranchi. Avec un grand geste du bras pas lequel il englobe la clientèle du Club. "Comme eux".
De ma bouche ne s'échappe aucun mot, mais dans ma tête, ma réplique est cinglante. Je n'en peux plus de ce discours entendu mille fois, que j'ai moi-même tenu à une époque où j'étais plus exalté ou simplement plus naïf. Oui, oui, oui, dans ce genre d'endroit on n'en à rien à branler des tabous, on joue avec, on les moque, on les méprise et l'on méprise aussi la bonne société, répressive et sectaire. Et par la démonstration d'une curiosité sans limites, d'une ouverture d'esprit, d'une audace à aller au-devant du sombre, de l'organique, du prohibé, du sale, à explorer les limbes qu'elle n'ose pas approcher, on lui prouve qu'elle ne contrôle rien, et nous encore moins. Qu'au fond, on lui est supérieurs, parce qu'on sait et qu'on peut, nous. Alors qu'on nous lâche la grappe, bla, bla, bla et qu'importe la manière de prendre son pied, si on ne fait de mal à personne, ha, ha, ha.
De la merde, c'est tout.
Pas plus ici que dans le monde vanille, celui des pauvres cons rétifs aux délectables violences du subspace, la liberté n'existe pas. Objet ou sujet, l'autre est enfer nécessaire, il nous enchaîne à lui. Faire fi de l'interdit implique son existence. Sans interdit, impossible de se penser en affranchi, à moins de devenir la norme et la norme, c'est la fin garantie de toute forme de licence. Et que dire de nous-mêmes, de nos vies, de ce qu'elles nous réservent, nous sommes tous prisonniers de nos propres expériences.
Libre, quelle blague.
Notre autojustification acrimonieuse d'anars de la fesse marquée n'a guère plus de valeur que les tartufferies moralistes des réacs de la vertu. Tous nous manifestions la même arrogance intolérante et planquons notre dictatorial égoïsme derrière de belles postures. La baise, c'est le miroir magique de l'humanité. Le comprendre peut faire peur, mal ou soulager, tout dépend du reflet, mais il est inutile de se voiler la face, le sexe réveille nos failles et nos limites, bien réelles, inaltérables et infranchissables. Le reste, c'est du vent. On est comme on nique et on est ce qu'on nique, rien de plus.
Mais je ne suis pas d'humeur à expliquer tout cela [...]"
- Lykaia, DOA
jeudi 14 février 2019
Rivale
C'est dans ces moments où tu sens une rivale autour de moi que j'ai une envie de m'affirmer sur toi. Rappelle-toi :
- Va des les toilettes ! Branle toi ! Et ramène moi ton jus à lécher.. sur les doigts !
- Difficile de se branler debout.
- C'est pas mon affaire.... Ma chatte ! Tu reviendras sans ta culotte...
- Et ?
- Tu me feras lécher tes doigts encore mouillés. Je te dirai de glisser mes doigts dans ta fente encore humide.
Regarde cette rivale d'un air qui dit "Il est a moi ! Salope ! Sa salope... c'est moi. Là.. c'est moi qu'il fouille de ses doigts. Regarde moi ! Salope ! Regarde moi !!!!! Comme c'est bon.. ses doigts et ... Comme c'est bon de te voir dépitée comme ça... regarde moi en jouir !"
- Va des les toilettes ! Branle toi ! Et ramène moi ton jus à lécher.. sur les doigts !
- Difficile de se branler debout.
- C'est pas mon affaire.... Ma chatte ! Tu reviendras sans ta culotte...
- Et ?
- Tu me feras lécher tes doigts encore mouillés. Je te dirai de glisser mes doigts dans ta fente encore humide.
Regarde cette rivale d'un air qui dit "Il est a moi ! Salope ! Sa salope... c'est moi. Là.. c'est moi qu'il fouille de ses doigts. Regarde moi ! Salope ! Regarde moi !!!!! Comme c'est bon.. ses doigts et ... Comme c'est bon de te voir dépitée comme ça... regarde moi en jouir !"
vendredi 11 janvier 2019
Accepter "autre"
Cette membrane de caoutchouc aura eu raison de moi et mon envie. J'ai du me résigner à ne pas me répandre. J'ai du me calmer.
Cette membrane si fine, si protectrice est si épaisse qu'elle m'éloigne trop de toi.
Ce sera pour une autre fois.
Une autre envie.
Devoir accepter "autre".
Cette membrane si fine, si protectrice est si épaisse qu'elle m'éloigne trop de toi.
Ce sera pour une autre fois.
Une autre envie.
Devoir accepter "autre".
mardi 1 janvier 2019
mercredi 12 décembre 2018
Conclusion
"Cum shot: éjaculation toujours externe qui signifie la fin de l'unité narrative pornographique."
samedi 13 octobre 2018
Paraître et être
Livres & vous : Dans les coulisses du Bureau des légendes avec Éric Rochant
"Le cinéma ne doit pas dire les choses. Sinon, autant les dire et ce serait un documentaire. La métaphore cinématographique c'est parce qu'il ne suffit pas de les dire. Il faut monter les choses et surtout, il faut extraire une vérité à travers l'histoire racontée, la vérité. Le cinéma, comme la littérature, la vérité ne se dit pas. Elle est représentée. Le lecteur essaie de l'atteindre.
Pour un film, il y a un scénario et des dialogues. Les dialogues sont très important pour comprendre la personnalité des personnages. Il n'est pas possible de demander à un acteur d'improviser. Il y a le réalisateur et l'équipe qui sont là pour permettre à l'acteur de limiter le jeu afin de rester dans l'histoire. L'acteur doit atteindre l'intuition d'être le personnage. Une fois atteint cette intuition qui semblera d'une logique évidente dans son jeu, l'acteur pourra déborder.
Le jeu de l'acteur devra répondre à l’antagonisme entre le cadre très fermé du scénario et des dialogues d'un film et la liberté de ce débordement."
"Le cinéma ne doit pas dire les choses. Sinon, autant les dire et ce serait un documentaire. La métaphore cinématographique c'est parce qu'il ne suffit pas de les dire. Il faut monter les choses et surtout, il faut extraire une vérité à travers l'histoire racontée, la vérité. Le cinéma, comme la littérature, la vérité ne se dit pas. Elle est représentée. Le lecteur essaie de l'atteindre.
Pour un film, il y a un scénario et des dialogues. Les dialogues sont très important pour comprendre la personnalité des personnages. Il n'est pas possible de demander à un acteur d'improviser. Il y a le réalisateur et l'équipe qui sont là pour permettre à l'acteur de limiter le jeu afin de rester dans l'histoire. L'acteur doit atteindre l'intuition d'être le personnage. Une fois atteint cette intuition qui semblera d'une logique évidente dans son jeu, l'acteur pourra déborder.
Le jeu de l'acteur devra répondre à l’antagonisme entre le cadre très fermé du scénario et des dialogues d'un film et la liberté de ce débordement."
vendredi 5 octobre 2018
jeudi 4 octobre 2018
Lovinfun
"N. nous appelle parce qu'il adore se frotter le gland avec la brosse des toilettes"
- "lovinfun" sur Fun Radio
- "lovinfun" sur Fun Radio
vendredi 10 août 2018
Derrière la porte
Se faire sodomiser dans une cabine de toilette improvisée et se voir
comme dans un miroir en lisant contre la porte en face "je t'encule,
salope !"
dimanche 5 août 2018
Partout
Où suis je en toi ? Dans quel orifice je fouille ? Le cul ? Le sexe ? La bouche ? A moins que ce soit partout, autour et dedans, à l'intérieur.
vendredi 20 juillet 2018
I love dick
Ce matin, après avoir rêvé de tortues mortes, j'ai écrit ceci dans mon
carnet: L’entièreté de mon mode d'être à changé depuis que je suis
devenu ma sexualité. Femelle hétéro voulant aimer les hommes, être
baiser. Il y a-t-il un moyen de vivre avec ça comme pourrait le faire un
gay avec fierté ?
- Chris Kraus "I love Dick"
- Chris Kraus "I love Dick"
samedi 30 juin 2018
Slut hose
Je ne t'ai pas parlé de cette black, la 20aine, que j'ai vu ce matin
dans le bus. Elle était debout en appui tant bien que mal dans le
soufflet du bus. Elle aurait pu passer inaperçu, sauf de monter en
courant alors que les portes se refermaient.
Je crois que j'ai commencé à la remarquer à cause de ses chaussures basket qui dénotait avec sa tenue. Avec une jupe noire juste courte pour laisser apparaître le bas de la dentelle en haut de ses bas blanc brillants. Cela aurait pu passer inaperçu jusqu'au moment où sentant ce que sa position dévoilait, elle a voulu descendre sa jupe. Elle s'est tortillée, à fait glisser sas mains sur ses hanches pour rallonger sa jupe jusqu'à ce que la dentelle de ses jarretières ne se voient plus. Gênée, honteuse, incertaine de son choix.
En privé je dirais 'slut'. Mais pas dans ce cas car elle ne le voulait sûrement pas.
Ne cherche pas, j'ai eu besoin de l'écrire pour ne pas oublier ce qu'elle voudrait oublier.
Je crois que j'ai commencé à la remarquer à cause de ses chaussures basket qui dénotait avec sa tenue. Avec une jupe noire juste courte pour laisser apparaître le bas de la dentelle en haut de ses bas blanc brillants. Cela aurait pu passer inaperçu jusqu'au moment où sentant ce que sa position dévoilait, elle a voulu descendre sa jupe. Elle s'est tortillée, à fait glisser sas mains sur ses hanches pour rallonger sa jupe jusqu'à ce que la dentelle de ses jarretières ne se voient plus. Gênée, honteuse, incertaine de son choix.
En privé je dirais 'slut'. Mais pas dans ce cas car elle ne le voulait sûrement pas.
Ne cherche pas, j'ai eu besoin de l'écrire pour ne pas oublier ce qu'elle voudrait oublier.
vendredi 15 juin 2018
Viande
Une meute de chiens
Maso
Genoux à terre
J'en veux un morceau
Combat de coq
- Texte en cours de construction
Maso
Genoux à terre
J'en veux un morceau
Combat de coq
- Texte en cours de construction
dimanche 3 juin 2018
Traces
"Mon corps n'a gardé aucune trace, comme prévu. (Je ressens même une
certaine frustration, un rappel à toi qui n'est pas figé sur ma peau)"
samedi 19 mai 2018
Running Up That Hill
[...]
And if I only could,
I'd make a deal with god,
And I'd get him to swap our places,
Be running up that road,
Be running up that hill,
Be running up that building,
Say, if I only could,
You,
It's you and me,
It's you and me won't be unhappy
[...]
Plus
And if I only could,
I'd make a deal with god,
And I'd get him to swap our places,
Be running up that road,
Be running up that hill,
Be running up that building,
Say, if I only could,
You,
It's you and me,
It's you and me won't be unhappy
[...]
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