jeudi 19 octobre 2017

Molière

Maîtresse,

voudriez vous cacher ce sein que j'entends à votre balcon. Ma perversité est transportée par son chant. Elle s'aventure dans des pays dont je connais trop bien la géographie. Des pays où vous ne devriez pas être une Reine.

Madame, "Couvrez ce sein, que je ne saurais voir. Par de pareils objets les âmes sont blessées, et cela fait venir de coupables pensées." - Le Tartuffe, Molière

mercredi 2 août 2017

Zoophilie

Il est Le mâle. Il est l'alpha d'un couple. C'est Sa place. C'est l'évidence.

La femme est Sa femelle. C'est une femme de Son harem. Une femelle parmi celles qu'Il possède déjà dehors.

Dehors, c'est la rue, un territoire qu'Il partage avec d'autres. Dedans, c'est Son territoire. Ce qui est dedans est Sa propriété.

L'homme est Son esclave. Il fait aussi partie dans Son harem. Il est observateur de Ses saillies. C'est un esclave excité par cette situation. Il en jouit mais Il ne manque pas de le remettre à sa place car Il est aussi excité par cette situation. Il en jouit dans cet homme qui est dans l'acceptation.

Il est Le chien, Le mâle alpha. Il a un couple zoophile.

jeudi 13 juillet 2017

Que fais-tu ?

Debout au milieu de la salle, tu tiens une laisse molle. Au grès de sa tension, une créature à la chevelure blonde platine rampe à quatre pattes. Combien de fois t'es-tu arrêter car la laisse tirait ? Qu'as tu fait mine d'attendre pendant que ton animale te faisait rester debout ?

Son mâle dominant s'active autour de vous. Il vous observe. Il tourne autour de vous. Il change son point de vu. Il veut satisfaire sa perversité. Il sait où la trouver. Il s'installe à la meilleur place, quitte à bouger une fois de plus. Il enjambe la laisse. Comment peux-tu laisser un mâle dominant se placer entre vous ?

La traversé de la salle se termine devant un sorte de toile d'araignée en fer munie d'attaches. Ta chose lève les bras pour que tu puisses attacher ses poignets aux menottes. Pendant qu'elle rampait, elle a eu tout le temps de penser à ce moment. Pourquoi as-tu attendu qu'elle lève ses bras et t'offre ses poignets ? As-tu besoin qu'elle t'offre son corps que tu as déjà ?

Elle se cambre. Son cul pointe vers l'arrière. Il va là où tu dois te trouver. Tu fouettes avec ta cravache. Tu agites ton bras maladroitement. J'ai l'impression que ton bras se brise dans le mouvement. Combien de touche fais-tu ? Que cherches-tu toucher ? Et comment peux-tu laisser son mâle dominant encore se placer là où l'observation le motive le plus ? Là où tu devrais te trouver !

Tu secoues son entre jambe. Ta main disparaît dans ce cul que tu as cherché à marquer. Elle remue. Il vibre sur tes mouvements. C'est un chambardement. Elle souffle. Un autre coup de cravache vient je ne sais d'où. Il tombe grossièrement. Je n'ai pas senti son souffle changer, ni ses cris. Elle s'agite dans des mouvements plus amples. Ta chose est belle. Que fais-tu les bras ballant ? Vont-ils tomber avec le branlage que tu lui fais ? Ta main vivre contre son sexe ou son sexe remue t il contre ta main ? Pourquoi n'es-tu pas belle, avec ta chose ?

Elle cri. Elle s'étouffe dans son orgasme. La main de son dominant caresse ses fesses. Elles sont blanches malgré les coups. Pourquoi demandes-tu à ce travesti de la lécher ?

Que fais-tu domina ? Domines-tu ? Que domines-tu ?
Qui est cette créature qui accepte d'onduler sous tes cris-ordres ?
Comment peux-tu devenir de actrice à observatrice ?

Elle te domine. Tu es son esclave.

lundi 3 juillet 2017

Garder sa virginité

- J'ai terriblement envie de toi. Baise-moi !
Je bande. Elle le voit. Ma queue sort de mon entre jambe.
- Je ne veux pas. Tu le sais. Tu es majeure depuis seulement quelques semaines.
- Oui. Je sais. Je suis vierge et je veux le rester.
Elle se retourne en baissant son jeans. Ses mains écartent les lobes de ses fesses et la bande de tissu que fait son slip dans son entre jambe.
- Mais à toi c'est mon trou de derrière que je veux te donner. Lui n'est plus vierge. Tu l'as défloré. J'ai envie que tu me prennes à nouveau par ce petit trou.
Pour bien me montrer qu'elle m'est disponible, elle pose son doigt sur l'entrée de ses entrailles en me parlant. Elle appuie légèrement et ce trou prend son rôle d'acteur vivant. Comme si c'était une bouche, son doigt est sucé. Ce n'est pas son extrémité qui s'enfonce mais bien son cul qui, tour à tour, l’aspire puis le rend. Aucun doute, elle devenue experte avec cet orifice.

Je me lève alors qu'elle se penche en avant. Je me place derrière elle. Une succion me fera aspirer dans son corps avec son doigt. Il est aussi dure que ma queue. Je la pénètre et elle m'aspire dans son intérieur.