jeudi 21 août 2014

Mon cadeau inattendu

Tu as relevé ta robe sur tes hanches. Tu as baissé ta culotte sur tes genoux et tu as écarté tes pieds, jusqu’à la tension de la culotte.

Tu t’es accroupie de profil, devant moi. Tu m’as regardé. Tu m’as dis “Regarde !”.

J’ai entendu ta pisse sortir de toi. J’ai entendu ce sifflement qui débute le jet. J’ai entendu cette urine tomber sur le sol dans un petit fracas d’une petite chute d’eau. J’ai vu ton cul légèrement reculé à ce moment là. J’ai vu ton regard me quitter pour aller dans ton entre jambe. J’ai vu tes genoux s'écarter pour mieux t’ouvrir, pour ne pas te pisser sur tes jambes.

Je m’avance pour voir ton sexe ouvert. Je veux admirer cette pisse sortir de toi, à ma façon. Tu as légèrement tourné pour que je vois mieux ce que tu m’offres. Cette flaque devant toi qui coule sous tes souliers.

Tu m’as surprise et pour te remercier de ce cadeau que tu m’as fais, j’ai léché les gouttes restées sur toi, sur ta fente. J’ai nettoyé ton con tel le papier que tu utiliserais.

mardi 19 août 2014

Virtualité

Elle se dit encodeuse. Elle se dit soumise. [...] Mais navigue librement. Se déployant uniquement à l'écrit. Son cul est hors d'atteinte. Son visage est virtuel. Sans cerne de la nuit. Libre et inaccessible, quand je suis, moi, sans cesse à portée de voix et de main.
- "Carnet d'une soumise de province"


lundi 18 août 2014

Entre mes reins

Mon envie, je ne te l’ai pas dite. Depuis ce matin je te la fais deviner.

Tu as compris ce que je voulais pour commencer. Tu es venu à côté de moi. En silence, tu m’as regardé. Tu as posé ma main sur le bas de cuisse, là où ta robe s’arrête de dissimuler tes jambes. De ta main recouvrant la mienne, tu me fais glisser de l’intérieur, vers cette partie que j’aime découvrir. Tu accompagnes ma caresse en remontant ta robe. Je voulais que l’initiative vienne de toi. Je voulais que tu montres ton désir jusqu’à te laisser aller au dessus de cette limite. Un souffle rapide de ta part, suivit d'un frémissement en chaire de poule, me confirme que tu vas, pour moi, surpasser cette limite.

Tu accompagnes ma main pour la déposer sur ton con humide. Je présume que tu as prévu cette caresse car tu n’as pas de culotte. Tes doigts accompagnent les miens. Ton envie que tu me fais vivre, au-delà de la parole. Tu m’accompagnes pour les entrer et les ressortir dans ton sexe. Mes doigts s’humidifient de ta mouille, qu’ils vont chercher à l'intérieur de ton ventre.

A peine quelques mouvements. Elle est maintenant poussée vers ton cul. Ton souffle se transforme en léger gémissement au moment où tu fais entrer un doigt entre tes reins. Tu t'approches de mon oreille pour me susurrer: "Je veux que tu me prennes par les reins".

dimanche 17 août 2014

Suggestion

Je n'ai pas pris de martinet, ni de fouet - lui dis je avec regret
Mais tu as ta ceinture, du pantalon -me glisse-t-elle.