jeudi 28 mars 2013

Je cherche "modèle". Je veux progresser.



"Mea culpa".

Les deux derniers cours de kinbaku ne m'ont pas été très glorieux. Je ne mets pas en cause mes modèles mais bien moi. Je remets en cause cet outil qu'est mon corps. Je veux me recentrer sur ma conscience. Appliquer Ma réponse à "Pourquoi j'attache ?". Je ne souhaite pas le faire que dans l'application, mais aussi dans la qualité.

Les séries sur la Terre, l'Eau, le Vent, le Feu et le Vide m'ont portées en avant. Ces 5 cours ont été déclencheurs. Mais le revers de fin de cette série s'est traduit pas une frustration et un manque. Je ressens le besoin de faire plus, de travailler plus en avant ces concepts. Je sais et je le ressens fortement, c'est par là que je peux trouver une partie de ma voie vers Mon kinbaku.

Je me suis senti très frustré à la fin de ces deux derniers cours. Frustré par les très justement justifié remises en places de mon "sensei" sur l'ambiance du cours et les rappels de position si utiles "Tiens-toi droit !", "Tu es trop loin du modèle !". Frustré par  l’acquis de j'avais obtenu lors de ces cours: j'ai senti de l'eau filer entre mes doigts. J'ai raté des choses importantes. Je les ai vu passer. Mais je ne les ai pas attrapées. Il m'a fallut retravailler et retravailler de mon côté.


Plusieurs moments de réflexions m'ont été nécessaires jusqu'à aujourd'hui. Reprendre les gestes des cours. Repenser les paroles.
Ressentir les idées émies. Retrouver le touché de la corde, le maniement du modèle.

Tout mon être ressent un besoin de progresser. Depuis quelques semaines, je suis un attacheur qui veut s'exprimer et se trouver.

Je suis devant une paroi. Je vais la franchir. Je sais je peux la franchir. Je le sens en moi. Mais pour cela je veux la bonne corde, le bon mousqueton, la bonne sangle, le bon "partenaire".

Je veux effectuer ce cours avec un ou une modèle qui comprenne cette démarche et souhaite aussi effectuer une progression.

J'étudie toutes les propositions, de modèle que je connais (ou pas). J'ai le projet de progresser en faisant progresser la personne qui m'accompagnera lors de ces cours.

Merci de votre compréhension.




samedi 10 novembre 2012

Cette irrésistible envie

Cette irrésistible envie est en moi, dans le bas de mon ventre. Elle me brûle. Elle m'excite. Je suis en pleine érection. Je ne peux pas me retenir. Il faut. C'est difficile. Cette envie me pousse. Mais je suis dans ta bouche. Les mouvements de ta langue tienne mon érection et accroit mon besoin et ma raideur.

Ma vessie est pleine. Je suis sans possibilité de me soulager. Ta langue est trop expérimentée. J'aime cela. Sentir ma raideur et cette envie de me lâcher en toi. Cela m'excite. Ta succions m'excite. Me soulager m'excite. Ce plaisir est une douleur.

Je t'attrape par ta nuque. Je te force à bien avaler mon sexe. A bien le placer dans ta gorge, bien au fond, sous ta glotte. Je te bouche le nez. Je profite de ta moindre inspiration contrainte par la bouche pour m'enfoncer plus en toi. Je me raidi. Tu sens, là, au fond de ta gorge, et ta langue qui n'a plus que le choix d'enrouler ma queue.

Bien installer, je peux enfin me soulager. Je sors de mes pensées, me concentre et me ramolli légèrement, suffisamment pour que mon urine puisse couler. Ce jet chaud me soulage et rempli ta bouche. Ta surprise cède la place au plaisir de boire. J'entends tes "hummmmm" de plaisir.

Trop plein, bouche trop pleine, gorge trop chatouillée, tu dégueules se que je viens de te donner. Je sens des sursauts. Tu veux sortir ta tête de là. Hors de question. Je te plaque fortement contre le bas de mon ventre. Ma queue fait bouchon. Ton dégueulis, tu ne peux pas l'expulser. Tu bois la tasse. Tu tousses. Quelques gouttes arrivent à s'échapper. Elle forme un filet qui relit ta bouche à tes genoux, en coulant le long de mes couilles.

Tu es rempli de mon urine. Son odeur rempli ton nez. Son goût envie ton palais.

Je daigne enfin relâcher ma contrainte. Tu recules dans l'élan d'une toux. Tu vomis. Ton torse est couvert de mon odeur. Tes genoux, tes pieds baignent dans la pisse que tu as rendue. Mes waders sont couverts. Tu les nettoieras lorsque j'en aurai fini avec toi.

Je me sens mieux et soulagé. Tu as progressé.

vendredi 9 novembre 2012

Dans un vacbed

Tu te glisses entre les deux feuilles de latex. Elles sont légèrement froides. Cela te donne un léger frisson. Tu es nu. Tu t'installes. Ton sexe en face de l'orifice prévu pour que je puisse jouer avec. Tes jambes sont légèrement écartées. Tes bras sont le long de ton corps, mais pas contre, paumes vers le bas. Tu places dans ta bouche l'embout qui te permettra de respirer par le tuyau qui en sort. Ton excitation grandi. Tu trembles légèrement sous l'adrénaline que cette situation te procure.


Tu sens le sol sous toi. Tu ne vois plus rien. Tu respires par la bouche. Tu peux encore bouger, t'installer confortablement. Les bouchons dans tes oreilles t’empêchent de bien entendre. Mais qu'à cela ne tienne, l’ouïe ne sera pas utile dans cette expérience.


Tu entends le bruit d'une ventilation, une soufflerie. Les feuilles de latex se resserrent sur toi. Tes doigts s'écartent, tes pieds se tournent sur le coté. Tu ne peux plus ouvrir tes yeux. Le latex se colle à toi. Il te ferme la bouche. Tu ne peux pas l'ouvrir. Tu n'essayes pas. Tu sais pertinemment que si tu perds l'embout que tu as en bouche, tu ne pourras plus respirer. Le latex t'installe dans son lit. La pression se fait de plus en plus sentir sur des zones de ton corps que tu ne connaissais plus. Cette même pression que tu avais sur toi, il y a quelques minutes, alors que tu étais encore libre. Quelle est cette différence ? Comment le faite d'être entouré de latex peut-il changer tes sensations ? Le touché, la pression: il ne te reste plus que cela pour sentir le monde extérieur. Ton plaisir augmente.


Je passe ma main sur les formes de ton corps. A l'aide d'un chiffon j'étale un lubrifiant qui fait briller le latex sous mon passage. Sous la légère pression que j'exerce, le latex se plaque plus contre ta peau. Le latex est fin. Tu sens la chaleur de ma main. Tu sens lorsque je te touche, lorsque je caresse ton corps qui se révèle à moi brillant et moulé. Le latex t'enserre. Le latex t'enferme. Il n'y a plus d'air entre ta peau et cette matière. Tu te tortilles légèrement. Tes mouvements sont limités. Tu ressens ton enfermement. Tu le touches enfin. Ton plaisir, il est là.

Tu es dans un vacbed.

Pour aller plus loin
Consultez la page "Session vacbed" pour plus d'informations.

mercredi 7 novembre 2012

Session: Bondage, Kinbaku et Shibari

Préambule
Retrouvez dans cette séance tous les codes sneaker qui vous font fantasmer. Composer votre salade: du simple trampling au léchage forcé de cho7 bien odorantes.

Pour qui ?
Cette session s'adresse essentiellement aux gays ou aux curieux.

Durée
1h30 minimum -hors douche de départ.
A vous d'ajouter du temps si vous le souhaitez.

Description
Les jeux autour des plaisirs sneakers: odeurs, cho7, trampling, réparation à travers mes chaussures, bondage avec cordes et cho7, baillonnage, CBT.
Inclus:
  • Accueil dans mon local
  • Mise en situation et jeux
  • Douche de nettoyage avant de partir
A essayer avec -non inclue dans le tarif.
Cette séance peut-être accompagnée d'autres ateliers comme la soumission.


Besoin d'un autre type de session ? Cherchez dans les tags sur la droite du blog, ou la page Sessions.