mardi 4 novembre 2014

Un trou

Je dois te dire que je mets un de mes leggings en lycra. Enfiler serait plus le terme, car il est très ajusté, très moulant.

J'aime le mettre alors que je suis excité. Il a une particularité qui rend ce legging obscène. Un petit trou est fait à l'emplacement de mon sexe. Ce petit trou a l’allure d'une mauvaise couture, anodine. Pourtant obscène car par ce trou j'aime sortir la queue et les testicules.

Il y a dans cette vision quelque chose qu'une salope ne pourrait retenir. Juste un organe sexuel mâle bandant, raide et mis en évidence par cette sorte de glory-hole et cock-ring. Ce trou est suffisamment petit pour faire la même sensation. As-tu cette vision ?


Vais-je te dire que je vais me branler ainsi ? Plus fort que tu crois mais avec la frustration de ne pas utiliser un des orifices de la chienne que tu deviens, en guise de branleuse.

Oserai-je te dire des choses comme celles là ?

dimanche 12 octobre 2014

Devenir un homme

Une femme m'a transformé en homme.

Une main appuyée contre le mur, à coté d’un miroir, face à nos reflets et avec beaucoup de mal, elle m’a regardé la caresser, soulever sa robe, ouvrir sa culotte, la baiser. Je la pénétrais en voulant qu’elle s'affirme en femme.

Je l'ai forcée à se regarder elle: dans son âme, dans ses yeux, dans ses mouvements, dans son reflet. Je lui ai ordonné de regarder. Mais elle m’a cherché que dans mon reflet, sous chacun de mes mouvements, dans mes regards, dans mon âme. Elle, malgré sa soumission, m'a transformé en quelques refus à mes désirs.

Derrière elle et à côté d'elle, elle m'a montré dans ce miroir qui j'étais. J’ai senti avoir été révélé. J’ai senti cette sensation de force, de puissance, de possession et de fierté. Elle m’a affirmé en homme fier et fort.

J'ai transformé une fille en femme.


samedi 4 octobre 2014

Jouir

Crois tu que la détermination que j'ai à te faire jouir par ton cul, se limite à l'odeur nauséabonde qui en sort ?
Crois tu que j'ai une envie qui peut s'arrêter là où se trouve les matières répugnantes ?
Crois tu vraiment que mon envie soit si légère ?
Ton cul merdeux ne m'arrêtera pas.
Je veux te voir et t'entendre jouir. Tu jouiras.

vendredi 26 septembre 2014

Retournée

Je t’inspecte alors que tu es assise sur la table. Ta position, cette façon de cacher la tasse de café que j’avais mis là auparavant. Tu ne vas pas fondre. Pas contre, ton sexe.... Je ne t'en ai pas encore parlé. Tu me l'as pourtant montré.
 
Je ne suis pas très patient. Quelques morsures légères sur l'intérieur de tes cuisses. Mes mains autour de tes chevilles te serrent pour tenir tes jambes. Je m'aventure entre tes jambes mais je suis présent grâce à ces chevilles et cette pression que je tiens.
 
Sentir que je m'approche de tes lèvres. Enjamber ton sexe avec juste un souffle dessus. Passer sur l'autre intérieur de jambe. Par dépit attraper ma tête et la pousser sur ton sexe comme si c'était un gode que tu voulais entrer, te pénétrer avec ce : "Tu vas me lécher !"
 
Je vais juste lécher de ma langue. Comme ferait un chat pour lécher le lait, coup de langue après coup de langue. Un peu de salive et te goûter. Sortir ma langue en embrassant ton sexe à pleine bouche comme je pourrai faire avec celle que je vois au dessus de moi....
 
Moi si dominateur, je te regarde d'en bas,.... le regard vers le haut… ta toute puissance que je vois basculer dans le plaisir. Je vois, là-haut, tu te mors un peu les lèvres.
 
Fouiller. Placer mes doigts devant ta bouche pour que tu les suces et les lèches comme si, hors humain, ... mon plaisir est que là, que par ces doigts.
 
Pendant que c'est ton sexe que je dévore comme je t'embrasse, ma langue entre dans ton con. Pendant que je tourne ma langue dans cette bouche, ta bouche, la vraie, avale mes doigts.
 
Mon autre main appui sur le bas de ton ventre. Tu te plies. Tes deux bouches sont vers l’avant. Toutes plus offertes à mes doigts, à ma bouche. Ce bruit d'humidité, un mélange des salives.
 
Serrer tes jambes. Entourer de cette bouche, sa langue. Sucer ce clitoris. Dure, répondant à chaque petit coup. Te tortiller de peur de perdre cette langue improvisée.
 
Glisser ta langue entre mes doigts.... comme avoir plusieurs queues. Un membre à 4 queues que tu peux lécher une à une ou engouffrer ensemble. Finalement mettre ces quatre autres bites qui t’appuyaient le ventre, dans cette autre bouche que j'embrassais. Ma bouche a travaillé l’orifice. Il est humide, ouvert. Il cri de continuer.
 
Et avec mes doigts dans ta bouche, prendre le dessus. Enfin te montrer que tu peux te lâcher. Le dominateur repentit, le chasseur c’était caché entre tes jambes. Te tirer vers le bas.
 
Te donner par ces bites dans ta bouche les mouvements que tu dois faire pour avaler mes doigts de l'autre bouche. Te faire comprendre par la bouche que tu vas sucer mes doigts, avec ton sexe. Je te dirige telle ma marionnette. A chaque mouvement que je te montre de faire, tu vas les avaler, les recracher et les avaler à nouveau. Mouvement de hanche après mouvement de hanche. Encore une ondulation. Encore plus profond.
 
Ouverte !
 
Satisfait, je te regarde reprendre ton souffle. Tu voulais dire "stop" : Stop stop stop !!!! Dans mon regard, tu l’as senti: cela ne m'empêchera pas de te retourner par les cheveux, de te plaquer sur la table et de t’enculer. C'est le bon terme.
 
Juste un peu de salive sexuelle sur ma queue en la frottant contre ton sexe. Te pénétrer. Enfin !
 
Tourner un peu ta tête. La joue plaquée contre la table, voir tes yeux qui me regardent de côté à travers les cheveux. Tu as réalisé ce que tu étais devenu. Mon sexe dans ma proie. Cette proie avide d’être pénétrée et terrifiée par son avenir.
 
Te prendre jusqu'à ce que je veuille jouir.
 
Te relever. Rester en toi. Te serrer dos contre mon ventre avec mes bras qui t'entourent. La tendresse après la violence. Ce besoin de prouver une tendresse forte après la violence de mon envie.
 
Je suis dans ton cul. Je débande. Je te serre fort contre moi. L’acte serviteur, qui n’était qu’un acte de chasse sexuelle, se termine dans un acte de tendresse. Et pourtant, toutes les fois, l'affection transpirait.